Pause Café [ Ouvert aux prof's ]

Le professeur Montgomery venait d'aller ouvrir sa classe et l'avait nettoyé de fond en comble, en vue de la poussière accumulée lors des vacances d'été.
C'était la première fois qu'il entrait dans cette salle, même en tant qu'élèves, aucun prof ne lui y avait convoqué, il trouvait ça bien dommage vu l'état de la salle. Elle était grande et une cheminée se trouvait là. Le feu crépitait. Il y faisait bon vivre et des grands canapés disposés en cerle dans un coin laissait libre cour aux discussions. Il trouva une machine moldue servant à faire du café. Il prit donc un ''expresso '' et alla s'asseoir sur l'un de ses canapés. Il jeta un coup d'oeil sur son programme et se dit :

* J'espère trouver des choses plus complexes à ce sujet *

C'est alors que surpris dans ces pensées il entendit quelqu'un d'autres entré et ne put que dire d'une voix grave et posée :

- Bonjour.

C’est passablement fatiguée que Mary poussa la porte menant, d’après ses déductions à la salle des profs.

Elle avait préparer ses futur cours tout l’avant-veille ainsi qu’une bonne partie de la nuit.
N’étant pas d’une discipline très vigoureuse, cela lui avait prit un temps fou et lui avait offert en prime une migraine qui ne voulait malheureusement partir.

Ce matin au réveil elle avait donc estimer profitable de se traîner vers la salle la plus proche où il était probable de trouver une bonne tasse de chocolat chaud. L’heure déjà tardive en cette froide matinée, l’avait dissuadée de descendre vers la Grande Salle.

C’est ainsi que la jeune femme s’était retrouvée devant cette salle, vêtu de la robe de soirée noir qu’elle portait déjà le soir précédent, en beaucoup plus froissée, et avec une petite mine.

Elle poussa la porte, et avança dans la pièce et sursauta à la salutation, d’une personne qui ne pouvait être qu’un collège.

Citation :: - Bonjour.

Elle y répondit d’un petit grognement qui se voulait amicale et traîna ses savates jusqu’à la table ou une petite machine reposait.

Sa première réaction fut l’émerveillement, vite remplacé par le dégoût, puis la capitulation.

*Va pour le café…*

Elle se servit un verre du breuvage amer qui lui faisait horreur.

*De toute façon y’ a que ça.*

Et alla s’affaler dans le fauteuil qui faisait face à l’autre homme. Souffla délicatement sur son café et le porta à ses lèvres. Ce n’est qu’a se moment là qu’elle se souvint de la présence de son collègue.
Mary releva ses perles grises vers lui et lui fit un sourire timide et gené qu’il l’ai rencontrée dans ses conditions.

-Bonjour.

[On a dit ouvert au profs, hein XD]

Maël avait croisé Peeves une demie douzaine de fois ce jour là. de quoi mettre n'importe qui sur les nerfs, lui plus que tout autre... après tout, n'avait-il pas longtemps été son souffre douleur?
Enfin, au moins, il pouvait désormais le punir à sa guise, ce qui constituait un véritable progrès par rapport à ses années de scolarité.

Bref, toujours est-il qu'entre deux cours, ce jour là, il n'avait guère eut le temps de se reposer et, honnêtement, il avait hâte de retrouver "son" fauteuil dans la salle des professeurs, ne fut-ce que pour quelques minutes avant de commencer à corriger ses copies.

Lorsqu'il y entra, toutefois, il apperçut deux personnes, très certainement des collègues. L'un d'entre eux, un homme nettement plus grand que lui -à ce qu'il semblait- était assis sur l'un des canapés et sirotait un café. La femme qui l'accompagnait semblait nettement plus petite. Et elle semblait également ne pas beaucoup apprécier le café...

Entrant dans la salle, il les salue d'un signe de tête, accompagné d'un grand sourire.

"Bonjour mademoiselle. Monsieur."

La femme semblait jeune. Peut-être environ l'âge de Maël? L'homme en revanche semblait plus vieux qu'eux. Sûrement un professeur plus expérimenté...

Maël se tourna vers la machine à café et se servit un capuccino bien mousseux. Un petit poste de radio Moldu trônait sur un buffet d'acajou: c'était Maël lui même qui l'y avait déposé, histoire de pouvoir corriger ses copies en musique... c'était tout de même plus sympathique, non?
Désignant l'objet du doigt, Maël interrogea poliment ses collègues:

"Cela vous dérangerait-il si je mettais un peu de musique?"

Toujours demander la permission avant de changer l'environnement: c'était plus poli et ça évitait bien des ennuis.

Citation :: « Bonjour
mademoiselle. Monsieur. »

Mary tourna sont regard embrumé vers
le nouveau venu. Le
jeune homme qui était entré, un sourire aux lèvres, avait l’air tout à fait
charmant.

Il semblait avoir environ 25 ans-comme elle- et avait un physique avenant. Toutceci la réjouissait, en fin un collègue d’à peu prés son âge et qui paraissait sympathique.

Elle le détailla un instant avant de rougir et retourner dans son café.

Qui était, soit dit en passant, toujours aussi imbuvable.

Elle ronchonna contre « les-café-hyper-amer-qui-ne-se-laisse-pas-boire »
avant de se levée et se dirigée vers la machine à café.
Mary fouilla les alentours de la dite machine en quête du miracle qu’était le
sucre en cet instant.

Après moult ronchonnements, elle trouva enfin une petite boîte contenant les morceaux tant désirée. Son visage s’éclaira et un sourire heureux vint étirer ses lèvres rosées.

*Yatta !*

C’est en fredonnant qu’elle commença à se servir du sucre engrand quantité.

Citation :: « Cela vous
dérangerait-il si je mettais un peu de musique? »

Mary s’arrêta, laissant le vingt et unième morceau de sucre en suspens,
et regarda le brun.
Ses yeux regardèrent le poste de musique, puis de nouveau le
garçon.

« -Tant que ce n’est pas de la musique trop violente ou niant-niant, cela me va. »

Elle laissa tomber le sucre, un doux sourire aux
lèvres, avant de retourner s’asseoir dans l’un des fauteuils encerclant la cheminée allumée.

Tom était encore là entrain de siroter son café. Les deux collègues qui étaient entrés lui était parfaitement inconnus et plus jeune que lui d'au moins une dizaine d'année.La première personne à entrer fut une jeune femme et elle servit un café avant de lui adresser un timide bonjour. Elle but ensuite son café avec une petite once de dégoût. Il eut un petit sourire et dit :

- Vous n'avez pas l'air de tant apprécié le café, vous auriez du vous faire un bon thé en fesant chauffer de l'eau et en y mettant l'un des sachets de thé se trouvant dans l'un des tiroirs.

Enfin entra un jeune homme d'âge plus ou moins similaire à la personne avec laquelle il était. C'était un jeune homme charmant qui se prit même la peine de demander leur avis pour enclencher le poste radio. Il ajouta à la réponse de miss Stuart :

- Non, ce serait même agréable d'entendre un bon rock des années 70.

L'ambiance était assez soutenue dans cette salle. Les profs ne se connaissaient pas vraiment et ne s'était aperçu qu'en début d'année lors du premier repas de l'année ou chaque professeur y fut présenté.

Vous n'avez pas l'air de tant apprécié le café, vous auriez du vous faire un bon thé en fesant chauffer de l'eau et en y mettant l'un des sachets de thé se trouvant dans l'un des tiroirs.

C'eut été plus simple, en effet. toutefois, Maël se fit la réflexion qu'elle ne savait peut-être pas que la salle des Professeurs était pourvue en thé. Il fallait dire aussi que, depuis le début de l'année, il n'avait jamais vu aucun professeur dans la salle. alors soit ils avaient tous des horaires différents des siens, soit ils préféraient rentrer directement dans leurs appartements après leurs cours. Bah. Peu importait.

Il haussa sourcil surpris en voyant la quantité de sucre que sa collègue mettait dans sa tasse. Quantité qu'il avait d'ailleurs cessé de mesurer au huitième morceau. Il préférait éviter de s'écoeurer tout seul!

'Tant que ce n’est pas de la musique trop violente ou gnan-gnan, cela me va.'

'Non, ce serait même agréable d'entendre un bon rock des années 70.'

Maël remercia ses collègues de leur autorisation par un signe de tête, puis se mit à tripoter les boutons de la radio, histoire de trouver une station qu'il pourrait capter. C'était l'une des bizarreries de Poudlard: chaque Radio semblait y changer de longueur d'onde régulièrement, ce qui rendait la fidélité des auditeurs plus compliquée.

Enfin, après plusieurs minutes de recherches infructueuses, il parvint à capter convenablement quelque chose. Malheureusement pour l'homme (Qu'est-ce qu'il enseignait déjà? L'arithmancie, ou quelque chose du genre?) ce ne fut pas un rock des années 70 qui emplit la pièce, mais une chanson de Rihanna, Don't Stop the Music, bien récente et bien Moldue, aussi. M'enfin ça, c'était pas étonnant: les Postes Moldus ne pouvaient pas capter les Radios Sorcières, et vice-versa.

"Pas de Rock pour le moment, dirait-on. Mais bon, on ne peu pas dire que cette chanson soit désagréable, je pense."

Oh, bien sûr, chacun ses goûts pouvait-on dire. Mais tout de même, au sens de Maël, ce morceau ne devait guère déranger les autres. Enfin bref, passons.

Son Cappuccino fumant toujours serré entre ses mains, le professeur d'Etude des Moldus se dirigea vers un vieux fauteuil rapiécé qui faisait face à la cheminée, et auquel il s'était habitué. Par politesse, il le tourna vers l'intérieur de la pièce et ses collègues, avant de s'y installer en tailleur, les pieds bien calés sous son fessier.

Il tira un magazine de mot croisé de sous le fauteuil, un crayon de derrière son oreille, et s'apprêtait à commencer sa page, lorsque la tête de Sir Nicholas passa à travers les mur, juste au dessus de la cheminée.

'Oh, bonsoir!' Salua le Fantôme. 'Que d'anciens Serdaigles!'

Maël haussa un sourcil, puis se fit la réflexion qu' effectivement, il se souvenait d'une fille typée asiatique à Serdaigle, quand il étudiait... Mais il n'aurait jamais pensé qu'il puisse s'agir de sa collègue. Enfin, remarquez, cela n'avait guère d'importance.

Alors comme ça, l'homme aussi avait suivit ses études à Serdaigle? Amusante coincidence!

"Bonsoir, Sir Nicholas. Enchanté de vous revoir."

Bien que Maël n'ait pas été répartit à Gryffondor, la Maison de Nick, il l'avait toujours apprécié: il avait souvent appelé de l'aide pour le décrocher des lustres et autres torchères auxquels Peeves s'amusait à l'accrocher, à l'époque. La Dame Grise, le fantôme de Serdaigle n'était pas méchante, mais elle tendait davantage à éviter les élèves, préférant hanter la tour et la bibliothèque. Tout ce qu'on attendait du Fantôme gardien des plus Travailleurs, pas vrai?

Mary sursauta à l’entrée de Sir Nicolas, elle ne s’était
jamais faite aux habitudes des fantômes, même lors de ses études. Son
soubresaut renversa un peu du contenu de sa tasse, tachant la robe noir sans
pour autant la brûler.

Elle rougit de sa maladresse et salua Sir Nicolas d’un sourire doux.

Citation :: « Oh, bonsoir! »
Salua le Fantôme. « Que
d'anciens Serdaigles! »

Anciens Serdaigles ? Alors ses
deux personnes venaient de la même maison qu’elle ?

Elle n’avait pourtant pas l’impression
de les avoirs déjà vu. Ce n’était guère étonnant pour la plus vieux, il devait
venir d’une promotion plus ancienne, mais le plus jeune…

Mary le détailla discrètement, elle ne
voulait pas être impolie, mais sont nom ne lui revenait pas a l’esprit. Ce qui
n’était pourtant pas très étonnant, étant donné son passage des plus furtifs à Poudlard.

Citation :

"Bonsoir, Sir Nicholas. Enchanté de vous
revoir."

La jeune asiatique, se souvint alors de
son vêtement mouillé et d’un mouvement de baguette gracieux troqua la robe
tachée pour un jean et un haut des plus simples.

Elle se leva ensuite et vint s’asseoir
en face du plus jeune de ses collègues.

« - Je suis désolée, mais je n’ai
aucun souvenirs de vous. » commença-t- elle de sa voix douce. « Je
me nomme Maryweather Stuart, je suis désolée si je parais malpolie, mais votre visage me semble familier et pourtant si étranger. »

C’était son premier jour. Enfin, Dean obtenait son premier poste dans la prestigieuse école Poudlard. Son rêve se réalisait : enseigner sa passion à des élèves, avides de connaissances. Dean déambulait dans les couloirs, visitait les moindres recoins du château. Bien sûr, il savait bien qu’il ne pourrait jamais absolument tout voir dans ce château, si mystérieux. En traversant le couloir du premier étage, il vit une petite porte isolée. Dean se posta devant et put lire ‘écriteau qui indiquait : « Salle des professeurs, entrée interdite aux élèves ». Dean se dit qu’il était enfin temps de rentrer dans le vif du sujet, et peut être rencontrer ses collègues professeurs. Il se décida donc à rentrer dans la pièce. C’était une vaste salle, malgré le fait que dans le couloir elle paraissait beaucoup plus petite. Elle était éclairée par de grandes fenêtres, apportant un éclairage abondant et très agréable. La pièce sentait le café fraichement moulue. Dean constatât qu’il n’était pas seul : trois de ces confrères était là. Ils paraissaient tout de même plus jeune que lui. Dean les salua :
« Bonjour ».
Puis, il réfléchit, les regardant tous un par un, Peut être devrais-je me présenter ? Il dit alors :

« Je suis le nouveau professeur de potion ainsi que Directeur de la maison Serpentard. C’est un plaisir de faire votre connaissance ».

Il regarda a nouveau la pièce, puis se rappela l’odeur de café, il repéra la cafetière, et dit
« Puis-je ? »
Dean sortit sa baguette et dit « accio Tasse ! ». Une tasse sortit tout doucement du buffet, et atterrit dans sa main. Puis d’un nouveau coup de baguette dit : « accio cafetière ! », et la grosse cafetière vint se poser délicatement dans son autre main . Dean se servit un café, et gouta doucement le liquide noirâtre. Il leva la tête et dit:

« C’est étrange, il manque quelque chose… »

Il souleva un pant de sa robe et sortit un petit flacon, remplit d’une substance dorée. Il ôta le bouchon et en versa une goutte dans son breuvage . D’un coup, il releva la tête se dit à ses collègues :

« Vous en voulez ? Je le fais moi-même. C’est une vieille recette que j’ai apprise lors de mes études en potion, c’est de la racine de mandragore, de la digitaline distillée par les elfes et un soupons d’arraillamide. Mais pour ma part, j’y ajoute toujours un brin de vanille moldue, pour le gout… Ca tente quelqu’un ? »

Le professeur Montgomery était encore là à boire son café. L'apparition du fantôme ne l'avait pas surpris tellement il était habitué à le voir arriver comme ça. L'ambiance était lourde, il était seul. Les deux plus jeunes commençaient à discuter de leur promotion tandis qu elui restait là tranquille. Il prit un magazine moldu du nom de ''physique,chimie,biologie'' qui semblait très intéressant. Mais au début de sa lecture un jeune homme arriva. Une espèce de bouée de sauvetage qui venait très vite mettre un peu plus d'ambiance dans cette pièce. Il rentra comme un prince et se présenta. Le professeur Montgomery ne put que se lever, luis errer la main avec un sourire et dire :

- Bienvenue , cher collègue, mon nom est Tom Montgomery et je suis professeur d'arithmancie et directeur de mon ancienne maison, c'est à dire, Serdaigle.

Il se rassit et le nouvel arrivant se joint à eux. Il s'asseya et sortit une petite fiolle contenant un liquide encore inconnu pour lui qu'il versa dans sa tasse. L'homme était joviale et avait très vite su mettre un peu d'ambiance dans cette sale sentant le travail. Le professeur lui répondit tout en lui tendant sa tasse :

-Et bien si c'est bon, ce serait sympa d em'en mettre un peu !

apparement, la collègue de Maël n'avait pas trop l'habitude des fantômes... comment expliquer autrement son sursaut à l'entrée de Nick? quand on s'habituait un peu à eux, il n'y avait plus que Peeves qui pouvais faire peur... Mais Peeves était un esprit frappeur, c'était normal qu'il fasse peur.

'Je suis désolée, mais je n’ai
aucun souvenirs de vous. [...] Je me nomme Maryweather Stuart, je suis désolée si je parais malpolie, mais votre visage me semble familier et pourtant si étranger'

Maël sourit et secoua la tête, sa façon à lui de dire que ce n'était pas bien grave: il survivrait. Et puis honnêtement, ses souvenirs n'étaient guère plus précis que ceux de Mary. Il s'apprêtait à répondre, quand un autre homme, apparement plus vieux que l'homme qui les accompagnait, pénétra dans la pièce. Sans attendre, il se servit un café, auxquel il ajouta un liquide doré. Puis, poliment, il en proposa aux autre personnes présentes. Maël refusa gentiment puis, suivant l'exemple de ses deux ainés, du moins semblaient-ils l'être, il se présenta:

"Maël Aldwen. J'enseigne l'Etude des Moldus."

Un poste à risques, par les temps qui couraient...
L'ex-Serdaigle se leva et serra la main de son collègue, avant de reprendre une gorgée de cappucciono. derrière eux, la radio entonna une chanson de Mika... comment s'appelait-t-elle celle-là? Ah, oui, Lollipop.

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