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 Valentine Nolwenn

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Valentine Nolwenn
¤ Préfète :: Serpentard :: 7ème
Valentine Nolwenn


Féminin
Nombre de messages : 814
Age : 35
Maison : Serpentard
Baguette Magique : 30 cm, en bois de saule pleureur, contenant une plume d'hippogriffe
Pur // moldu // mêlé : Moldus
Maison : Serpentard
Surnom de Riddi : Iceberg
Date d'inscription : 30/04/2007

°Infos Pratiques°
Rang: Quidditch - Poursuiveuse
Humeur: Rire Diabolique Rire Diabolique
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MessageSujet: Valentine Nolwenn   Valentine Nolwenn EmptyMer 19 Mar - 14:16

I. IDENTITÉ …

Nom : Nolwenn
Prénom : Valentine
Surnom : On me donne souvent le surnom d’Iceberg.
Sexe : Féminin
Groupe sanguin : O-
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle

Date de Naissance : 14 février 1991
Âge : 17 ans
Signe Astrologique : Verseau

Nationalité : Anglaise
Lieu de Naissance : Londres
Lieu de vie : Londres

Nombre de Piercing : Deux à chaque oreille
Couleur de Chaussette : Elle a peu d'importance
Le prénom qu'il n'aurait jamais voulu porter : Albertine
Lunette ou verre de Contact : Aucun
Couleur préféré : Le vert
Saison préféré : L'hiver
Mauvaise Habitude :
Alcool ou Jus : Alcool, surtout du fort.

II. POUDLARD …


Maison : Serpentard
Rang Sociale : Moldus
Poste : Je suis préfète de la maison de Serpentard et poursuiveuse dans l’équipe de Quidditch

Baguette magique : Elle mesure 30 cm et elle est en bois de saule pleureur, en plus de contenir une plume d'hippogriffe. Elle va très bien pour les sortilèges.

Matières préférées : Je ne fais pas exception à la règle, j’adore les cours de sortilèges et de défense contre les forces du mal. C’est peut-être juste dû a fait que je suis très douée et que je parviens à décrocher de très bonne notes, mais je n’en suis pas vraiment certaine. Ce sont des matières très passionnantes…enfin, quand elles ne sont pas enseignées par des incompétents.

Matières détestés : Comme beaucoup d’élèves, j’ai horreur des cours de potion. Je ne saurais dire pourquoi, mais je n’arrive vraiment pas à aimer ce cours, sans parler que je n’arrive pas à décrocher les meilleures notes. De plus, j’ai horreur des cours de divination que je trouve complètement inutile et des cours d’Arithmancie trop compliqué pour rien.

Épouventard : Inferi et tous les morts-vivants.

Patronous : Inconnu à ce jour

Animal : J’ai une chatte blanche nommé Milianne de sept ans. Plusieurs personnes me demande pourquoi elle porte ce nom, mais c’est une longue histoire entre elle est moi.

III. ELLE …

Description Physique : Je suis sans doute très belle et je le sais, mais je n’utilise que très rarement ma beauté pour obtenir ce que je veux. Pour moi, c’est un manque de respect envers soi. Je ne suis pas une féministe, alors j’ignore pourquoi je pense cela, mais c’est ainsi.

À première vue, je suis sans doute une fille comme les autres, mais c’est loin d’être véritablement le cas. Il suffit de me regarder un peu pour comprendre que je ne suis pas comme tout le monde. Chaque personne à une beauté unique et le mienne est glacial. Je sais. Je sais, j’ai horreur des blagues foireuses et je viens d’en faire une, sauf que je ne pouvais pas expliquer les choses d’une autre manière. Mon teint ressemble à celui d’une pêche bien mûre. Il y a des gens qui pourrait croire que c’est la faute du fond de teint, mais je ne suis pas le genre de fille à me maquiller, sauf pour les grandes occasions. C’est mon teint naturel, simplement parce que je n’ai pas eut d’acné. Mes pommettes sont bien rosées, mais ce n’est pas parce que je suis gênée. De toute manière, je me demande si j’ai déjà été gênée une fois dans ma vie. Si c’est le cas, je n’arrive même plus à m’en souvenir. J’ai un petit nez tout à fait ridicule, mais je l’aime bien comme cela. De toute manière, c’est mieux qu’un grand nez de sorcières comme dans les comptes moldus. Mes yeux sont très étranges. Ils sont froids et vides d’émotions et leur couleur n’aide en rien à les rendre plus chaleureux. Ils sont gris/bleus, une couleur qui n’est pas très naturelle selon les dires de plusieurs personne, mais ça les rends très spéciale. Mes sourcils aident à rendre mon regard encore plus froid. C’est c*n de dire cela, mais j’aime avoir l’air froide et dure. Ça permet de faire peur aux gens sans même à avoir à ouvrir la bouche. Tiens, en parlant de bouche, mes lèvres sont d’une rose tirant sur le brun, se marient à la perfection avec mon teint. Elles ne sont pas pulpeuses, mais elles ne ressemblent pas à celles des garçons non plus. Il faut croire qu’elles sont simplement bien ordinaires, mais je suis prête à parier qu’il y a des gens qui auraient envie d’y goûter. Je ne souris que très rarement, mais j’aborde souvent une expression bien particulière, laissant voir mes parfaites dents blanches. Mon visage à la forme d’un « V » et il est encadré par une chevelure d’or, parfois presque blanches à cause du soleil. Je les porte généralement courts et avec un dégradé bien visible. Et oui, je déteste les coupes au carrée.

Comme tout le monde, j’ai un corps. Ce n’est pas ce que l’on peut appeler une révélation et si c’est le cas pour vous, vous feriez peut-être bien de vous cacher jusqu’à la fin de votre vie. Je suis un peu plus grande que la taille moyenne des filles, mais, du haut de mes un mètre soixante-dix, il m’arrive tout de même de tomber sur des types plus grands et plus imposants que moi. Malgré tout, si j’ai besoin de le frapper ou même de la frapper, je ne vais pas me gêner, vous pouvez en être certains. Contrairement à ce que mon corps montre, je ne suis pas si fragile que cela. En fait, je m’entraine beaucoup à cause du Quidditch, mais je n’ai pas du tout l’air musclée. Il y a même des jours où je me demande si je ne fais pas que rêver que je m’entraîne, mais ma force lors des combats me prouve le contraire. Sinon, je dois avouer que j’ai une taille relativement assez fine, mais ce n’est pas parce que je ne mange pas. En fait, je mange quand même beaucoup pour une fille, mais je dépense mon énergie, dont ça explique ma taille. Mon poitrine n’est pas digne de faire la première page de play-boys, mais je m’en fiche de ne pas porter du double DD. Ça ne me servirait à rien d’avoir de gros ballons. Je suis bien avec la poitrine moyenne que j’ai. Mes haches semblent avoir été conçues pour porter des enfants, mais qui sait si je vais vraiment en avoir un jour. Par contre, je n’aime pas mes doigts. J’ai l’impression qu’ils sont trop longs, mais comme j’adore porte les ongles longs, et bien ce n’est plus vraiment qu’une impression que j’ai. Mes jambes ne soit pas très longues vu ma grandeur, mais elles sont tout de même assez belles, assez belle pour que je n’aille pas honte de les montrer.

Style Vestimentaire : On ne peut pas vraiment dire que l’uniforme soit un véritable style vestimentaire, sauf si l’on le porte tout le temps, mais comme j’en ai horreur, ce n’est pas mon cas. Je trouve ces trucs tellement horribles que, dès que l’occasion se présente, je retire cette horrible robe. Mais comme je ne suis pas du genre à me promener à poils, je dois porter autre chose et c’est à que l’on découvre mon véritable style. C’est là que l’on découvre que je n’ai pas de style particulier. Alors, qu’il est possible de me voir arriver en t-shirt un jour avec des jeans et des baskets, il est tout aussi possible de me voir, le lendemain, avec une superbe robe. Alors, il ne faut pas trop vite me catégoriser. Par contre, comme je dois et je veux porter clairement ses couleurs, j’opte souvent pour l'écharpe, même en pleine été. Je sais, ça à l’air un peu étrange, mais, de cette manière, les gens ne peuvent pas faire croire qu’ils n’ont pas remarqué d’où je viens.

Signe Particulier : J'ai un serpent de tatouer sur mon ventre, pile poils à la hauteur où je porte mon pantalon.

Description Psychologique : J'ai un mauvais caractère, mais ce n'est pas comme si personne ne le savait. C'est sans doute l'une des premières choses que l'on apprend lorsque l'on me rencontre pour la première fois. J’ai un mauvais caractère, mais je n’ai aucun mal à l’avouer. Je déteste vraiment me faire contrarier, peut-être aussi parce que j’ai tout le temps raison et que ça m’énerve que l’on essaie de faire penser le contraire. Quoi qu’il en soit, les gens comprennent rapidement qu’il vaut mieux éviter de le faire ou alors d’être très loin de moi lorsqu’ils me contrarient. J’ai tendance à le frapper pour leur faire comprendre que ça ne passe pas. C’est vachement brutal comme moyen, mais je n’en ai rien n’à foutre. C’est comme pour la délicatesse. Je n’en ai aucune et ça ne me dérange pas. Si j’ai quelque chose à dire, je ne vais pas passer par quatre chemins. Je vais le dire, que ça plaise ou non à la personne. Après tout, je ne suis pas une fille gentille. Il y a même des moments où je me demande si ce mot fait partie de mon vocabulaire. Je suis méchante et agressive. Je suis même très fière de l’être et si ça ne fait pas ton affaire, je n’en ai rien n’à cirer. Je ne changerais pas pour faire plaisir à une bande de petits morveux insignifiants.

Par contre, je dois avouer que je suis assez étrange comme fille. Bien d’entre elle adore que leur dire qu’elles sont belle. Pas moi. Je déteste me faire appeler ma jolie. C’est tellement sexiste comme commentaire. Ça me donne envie de vomir. Comme si une fille ne peut être rien d’autre qu’une poupée Barbie, quoi qu’ici, la moitié du monde ignore ce que c’est une Barbie. Je déteste aussi rester sans rien faire. En fait, je ne suis pas capable de rester assis sans rien faire. C’est assez étrange et je n’arrive pas à m’expliquer cela. Je sais bien que ça a tendance à rendre dingue plusieurs personnes, mais ça m’est égal. Il faut que je bouge. Malgré cela, je ne sais pas pourquoi, mais j’arrive à être très attentive. Je donne souvent l’impression aux gens que j’ai des yeux tout le tour de la tête, mais c’est loin d’être le cas. Je n’ai pas à m’en plaindre puisque ça m’est plutôt utile. Je remarque souvent ce que les autres ne remarquent pas.

Je dois aussi avouer que je suis un peu maniaque sur les bords. Je déteste le désordre. J’en ai une horreur absolue à un tel point qu’il m’arrive de ranger des trucs qui ne sont pas à moi parce que ça me rend totalement cinglée. C’est assez étrange, mais je crois que je n’ai pas du tout envie de savoir pourquoi je fais cela. De toute manière, ça ne me dérange pas vraiment d’être comme cela. Je n’arrive pas à abandonner. Pour moi, ça un signe évident de faiblesse et je ne suis pas une fille faible. Je suis forte et je parviens toujours à réussir ce que j’entreprends, même si cela doit prendre du temps. Le plus drôle avec cela, c’est que j’ai autant de patience que… Non, je ne trouve rien pour comparer mon peu de patience. J’explose à tout moment, surtout si ça va très mal. Je déteste suivre les règles et je n’hésite jamais à les enfreindre, sauf quand elles me sont utiles.

Il faut aussi savoir que je sais tirer avantages des situations. Je suis très rusée, autant qu’un renard et mon intelligence n’est pas à remettre en doute, alors je sais trouvés ce qui est bien dans telle ou telle situation. Depuis quelques années, j’ai un peu changée. J’ai compris certaine choses. J’ai besoin des autres pour être ce que je suis, alors je fais parfois des efforts, mais il ne faut pas trop m’en demander. Je ne vais pas commencer à prendre le thé avec des personnes que je déteste. Disons simplement que j’essaie de faire un peu plus attention à ceux que j’apprécie un peu.

Dernièrement, j’ai découvert que j’adorais résoudre les mystères et ce n’est pas ce qui manque dans cette école. J’ignore quel sera le prochain mystère qui se présentera ici, mais je serais sans doute présente pour régler le problème.

Ce qu'il/elle aime et n'aime pas : Aimer ou ne pas aimer, telle est la question. Comme tout le monde, il y a des choses que j’aime, mais bien plus qu’elle n’aime pas. En tête de liste, contrairement à ce que bien des gens peuvent penser, mon prénom n’est pas là. En fait, je l’aime bien. Ce que je déteste le plus, par contre, c’est les qu’on se moque ce mon prénom, principalement dans le temps de la Saint-Valentin. Je vois rouge dans ces moment là. Par la suite, je n’aime pas le froid, les bananes, les incompétents, les trucs trop sucrés, le mauvais goût, les enfants pleurnichards, les mauvais films, les mauvais livres, les mauvaises séries, la pizza, les noms et prénoms qui donne un jeu de mot stupide (Jean Racine), les blagues idiotes, les stupides petits chiens qui passent leur temps à japper, le rose, les petits cons qui se la pètent, ceux qui n’arrive pas à se brancher, ceux qui s’en prenne à ma chatte et, sans aucun doute, les Poufsouffles. Bien sûr, il y a d’autres choses que je n’aime pas, mais c’est ce qui est le plus importants.

Pour ce qui est de ce qu’elle aime, la liste se résume à une dizaine de choses. J’adore la pluie, la nuit, me promener dans le château quand tout le monde dort, abuser des mes fonctions de préfète, les sortilèges, le vert, botter les fesses des gens, ce qui est paradoxal, la musique et, bien entendu, résoudre des mystères. Le reste des choses à tendance me laisser indifférente, mais tout dépendant des situations, l’appréciation des choses neutres peuvent pencher d’un bord comme d’une autre.

Une mauvaise manie : Je ne crois pas que j'en ai une, mais il est possible que je ne l'aille jamais remarqué.

Relation avec les autres : Inexistantes ? Il est vrai qu’il n’y a pas si longtemps, cela aurait été le cas, mais j’ai pris conscience de certaines choses… Malgré mon caractère, cela ne veut pas nécessairement dire que n’arrive pas à avoir une conversation avec les gens. J’arrive à avoir des relations avec les autres, même si celle-ci ne se passent pas toujours très bien. On ne s’entend généralement pas très bien avec moi, mais je deviens un peu plus gentille et chaleureuse avec quelques verres dans le nez, sauf que peu de gens le savent. Mais il est vrai que je ne suis pas très commode comme personne, mais il y a toujours des gens qui viennent me parler, parfois simplement pour venir vérifier ce que l’on dit sur moi. Ma réputation me précède...

Par contre, pour ce qui est des personnes que je connais depuis plusieurs années ou alors que apprécie beaucoup, je fais parfois quelques efforts pour être moins ignoble, mais le naturel revient bien souvent a galop. Pour ceux qui se demanderaient pourquoi je fais quand même des efforts, je pourrais répondre très simplement que sans relation, il n’y a aucun moyen de pratiquer son mauvais caractère, son peu de patience, son irascibilité et tout ce qui fait de moi une Valentine Nolwenn. De plus, j’ajouterais que sans relation, on n'a personne à exploiter, alors il faut bien faire quelques efforts pour arriver à nos fins.

Relation amoureuse : J'en ai eut quatre ou cinq, mais on ne peut pas dire que ça a été un véritable compte de fée entre nous. Il y a toujours eut quelques choses qui ne fonctionnait pas.
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MessageSujet: Re: Valentine Nolwenn   Valentine Nolwenn EmptyMer 19 Mar - 14:21

IV. HISTOIRE …

Une légère neige tombait sur Londres alors que la ville commençait à peine à se réveiller. D’ici quelques heures, ça serait la cohue dans les magasins et dans les restaurants car il y avait toujours un nombre incalculable de personnes qui se prenaient à la dernière minute pour la Saint-Valentin. Généralement, cela était des hommes qui n’avaient pas compris tous les messages subtils ou pas que leur envoyait leur compagne et qui n’avait pas compris ce que signifiait tous ces cœurs ici et là dans les endroits publics. Ils n’avaient pas compris et ils allaient en payer le prix car tous les restaurants chics étaient pleins et emmener sa douce au McDonald n’était le bon moyen pour la forcer à rompre. Les mecs, ils ne pensent jamais à se prendre à l’avance ou même à penser à faire eux-mêmes le souper pour leur douce, mais on les aime quand même. À ce moment là, je n’étais pas encore là, mais j’ai l’expérience derrière moi pour imagine un peu les choses.

Donc, c’était la main du 14 février et la plupart des âmes de la ville dormait encore ou restait au lit, attendant d’entendre le bruit du réveil qui allait sommer les gens de se lever et de commencer le train train quotidien. Malheureusement pour deux personnes, leur réveil allait être un peu brutal. C’était sans doute un moyen de montrer que je n’allais pas être une gentille petite fifille bien élevé. Toute la nuit du 13 au 14 février, ma mère avait eut des contractions, mais le médecin leur avait assuré que ce n’était pas des vraies contractions. C’était des fausses. Quel c*n ! Je suis certaine que c’était simplement un moyen de ne pas rentrer au travail parce qu’il ne voulait pas quitter sa maîtresse. D’accord, J’avance des choses, mais j’imagine bien le vieux type super friqué avec une femme coincée qui s’envoie en l’air une petite poulette qui se donner un sentiment de vigueur. Par chance que la petite pilule bleue existe.

Donc voilà ! Ma mère avait finit par s’endormir vers deux ou trois heures du matin, mais lorsque ses os creva, elle se réveilla brutalement. J’imagine que ça ne dois être très agréable de se réveiller quand on sent un liquide chaud couler sur nos jambes. Elle réveilla mon père qui dormait près de lui. Quand il dormait à la maison, il fallait presque faire exploser une bombe près de lui pour le faire réveiller. Par chance, cette nuit, il n’avait pas fermé les deux yeux, donc il se réveilla un peu plus facilement que d’habitude. Je suis certaine qu’il a comprit de quoi il s’agissait dès le moment où il vit l’expression sur le visage de sa femme. Sans rien attendre, il saisit le téléphone à sa droite et composa le numéro de son père. Il s’avait qu’il allait le réveiller, mais il s’avait aussi que ça n’allait pas le déranger. Il lui demanda de venir sur le champ à la maison pour s’occuper de ses quatre petits fils qui dormait encore à ce moment. Le connaissait comme je le connais, il a dut venir en moins de trois minute s à la maison. Par chance qu’il n’habitait pas très loin. Quand il fut là, mes parents purent partir à l’hôpital en toute quiétude. Bien sûr, ils auraient pu confier toute la famille à leur plus vieux fils, Jack, mais comme il n’avait que 12 ans et que l’école était plutôt loin il n’aurait pas pu reconduire à l’école ses trois frères.

Je suis certaine que papa roulait un peu trop vite, mais à cette heure, la police n’était pas encore sur les routes qu’il emprunta. Il connaissait bien Londres et ses rues à cause de son travail de pompier. Quand ils arrivèrent à l’hôpital, maman était dilatée à près de cinq centimètres. Même à ce moment, j’étais déjà impatiente et pas question que je prenne huit heures pour sortir de là. Étrangement, mes parents n’avaient pas pensé à un nom en particulier pour moi. Ils avaient toujours dit qu’ils savaient comment appeler leurs enfants dès le moment où ils voyaient leur visage. Il fallait croire que j’avais le visage d’une Valentine car c’est ainsi que j’ai été nommée. J’ai tendance à croire que mon père trouvait amusant de me nommé Valentine à cause de la journée où je suis née, mais aussi à cause d’une chanson qu’il adorait, My Funny Valentine de Frank Sinatra. Quand j’étais plus jeune, je n’aimais pas du tout me prénom, mais j’ai finit par m’y faire et par l’apprécier.

Malgré ma grande famille, j’ai grandis un peu seule. J’avais une grande différence d’âge avec mes frères, sauf avec Matt, mais il était tout le temps en train de s’entrainer au football avec d’autres mômes du quartier. Il y avait bien des filles dans ce même quartier, mais j'avais un assez mauvais caractère à 4 ans, donc elle ne voulait pas trop jouer avec moi. C'était tant mieux comme cela. Je n'avais pas à faire semblait que leurs petits jeux idiots m'intéressaient. Par contre, quand j'y pense, je crois que ça brisait le cœur de mes parents de voir que je n'avais pas d'amis avec qui jouer. Je me souviens qu'ils m'avaient amener voir un psychologue pour enfants pour voir ce qui clochait avec moi, mais cette vieille dame qui sentait aussi bon qu'un sac poubelle ne trouva rien de très concluent. Pour elle, j'étais simplement gênée, mais c'était complètement faux. Pas une seule fois j'avais refusé de répondre à ses questions même sans la présence de mes parents. À vrai dire, j'avais même été un peu vulgaire pour une fille aussi jeune.

J'ai finit par commencer l'école. Mes géniteurs avaient tout bonnement pansé qu'être entouré d'enfant me ferait du bien, mais...D'accord, je l'avoue avec plaisir, je n'étais pas très calme comme enfant. Je n'arrivais pas à rester assise sur une chaise et il ne se passait pas une seule journée sans que je n'attaque pas un autre enfant, verbalement ou physiquement. D'ailleurs, les parents étaient très en colères contre moi, mais ce n'était pas de ma faute si leurs enfants étaient une bande de chiffe molle. D’ailleurs, je ne compte même plus les fois ou papa ou maman à dut quitter son travail pour venir me chercher à la suite d’une petit incident. Mais bon, je dois aussi avouer que j’avais même commencé à m’en prendre à mes professeurs en les frappant ou même en les humiliants. Il fallait croire qu’à 7 ans, j’étais déjà douée pour me faire détester par les autres. Mes parents devaient sans doute se demander comment cela se faisait que ça soit leur unique fille qui ait un tel caractère et pas l’une de leur garçon, ce qui aurait peut-être été un peu plus normal, mais même après 18 ans, je n’arrive pas à l’expliquer, ni à moi ni à eux.

Rien ne semblait pouvoir me changer, mais ce n’était pas parce que j’avais un tel caractère que je n’avais peur de rien, bien au contraire. D’ailleurs, la peur n’est pas innée. Elle est apprise et mes frères sont parvenus à me faire terriblement peur le soir d’halloween. Mes parents ne pouvaient pas venir avec nous cette année là, mais ils avaient demandé à Jack de venir avec moi faire le tour du quartier. À la dernière minute, Calvin, Adam et Matt se sont joint à nous. Comme on habitait un quartier de riche, nos sac se remplissaient rapidement, comme on était des plus adorables, les gens nous gardaient souvent quelques minutes à leur porte pour bavarder un peu. Avoir été seule, il y aurait longtemps que je me serais poussé à la porte voisine, mais Jack m’empêchait tout de temps de m’en aller en me retenant par la queue de mon costume de chat. Quand on eut finalement finit de faire le tour du quartier, il était bien tard. Pour gagner du temps, on a décidé de passer par le cimetière, mais les choses se passèrent très mal et ça, je crois que je ne pourrais jamais le pardonner à aucun d’entre eux. Ce n’était pas pour rien que Jack avait dit oui sas râler, surtout avec ce qui se passait dans sa vie, et que mes trois frères s’étaient joint à nous. Ils avaient envie de me jouer un tour, mais tout ne se passa pas comme prévus. Ils commencèrent par me raconter des histoires d’horreurs, mais ça ne me faisaient pas du tout peur…enfin peut-être un tout petit peu, mais c’était à cause que tout semblait concorder avec l’endroit. Finalement, ils me poussèrent dans un trou qui avait été creusé l’après-midi même, comme dans l’histoire et ils se sauvèrent. C’était une blague pourrie d’enfants, mais j’allais leur faire regretter une fois à la maison. Je pris ma lampe torche et je l’alluma. Comme j’étais tombée sur le dos, j’ai roulé un peu pour pouvoir me relever en m’aidant du sol, mais ce que je vis me glaça le sang. Dans le fond du trou, avec moi, il y avait un corps en décomposition.

Pendant plusieurs jours, je n’ai pas voulu parler à aucun des 4 garçon, malgré que mes parents les avaient sermonnées comme jamais ils ne l’avaient fait avec personne. En fait, ils étaient surtout en colère contre Jack. Voyez-vous, il y a plusieurs mois, il eut une brève idylle avec une fille, mais celle-ci tomba enceinte de lui. Il allait devenir père monoparentale à 18 ans et mes parents ne comprenaient pas pourquoi il faisait encore ce genre de blagues. Contrairement à mes parents, j’ai finit par comprendre que c’était parce qu’il ne se sentait pas prêt à assumer une telle responsabilité qu’ils faisaient ce genre de bêtise. Alors, un jour, peu de jours avant qu’il ne déménage dans son appartement, je me suis glissé dans sa chambre et je lui ai parlé. Ce n’était pas mon genre, mais je devais le faire.

Elle finit par accoucher et à peine l’enfant sortit de son corps, elle demanda les papiers qui allaient lui permettre d’abandonner les droits sur l’enfant. Quelle garce cette fille. Incapable d’assumer ses responsabilité et la preuve de cela c’est qu’elle voulait se faire avorter, mais come elle en était au quatrième mois, c’était trop tard. Quand mon frère vit son enfant, il trouva tout de suite son nom : Jayden. Je trouvais ce nom laid et je ne me gênai pas pour lui dire, mais il me répondit que j’allais devoir faire avec, surtout parce qu’il voulait que je sois la marraine de son petit. Je me souviens que j’ai fallait m’étouffer et que je l’ai traité de tous les noms possibles, mais il ne changea pas d’idée. Malgré mon jeune âge, il voulait que j’aille ce titre. Ça, c’est le genre de chose à quoi l’on ne peut pas dire non. Ça me tue.

Malgré mon nouveau titre tout fraichement acquis, je ne changeai pas du tout. Je restais toujours une fille aussi dure avec tout le monde et c’est justement cela qui me fit renvoyer de pas mal d’école. J’avais beau être très brillante, un caractère de cochon, ça reste un caractère de cochon. Par contre, je dois avouer qu’il y a une seule personne qui, hors de ma famille, parvient à me toucher. Il s’appelait Kyle et il allait à l’école où je venais tout juste de me faire accepter. Ce n’était pas une école très réputée, mais mes parents n’avaient pas pu trouver mieux pour moi, jeune fille alors âgé de 9 ans. Il était fragile et avec quelques problèmes, dans le genre qu’il était hémophile et albinos. Les gens s’en prenaient toujours à lui. Je dois avouer que j’étais dure avec les gens, surtout quand je les tabassais, mais jamais au grand jamais je ne m’en suis pris avec une personne avec de sérieuses difficultés. Quand j’ai vu cela, je n’ai pas pu résister. J’ai été frappé la grosse brute qui s’en prenait à lui. Je dois dire que je ne l’ai pas manqué. Bien sûr, ça m’a valu une semaine de colle et un passage dans le bureau de la directrice, mais je n’avais pas peur de cette vieille harpie. À vrai dire, je lui ai même dit que si elle faisait mieux son travail, je n’aurais pas dû aller tabasser son fils. C’était un double message, mais je crois qu’elle ne comprit celui-ci quand dans un sens, soit qu’elle était une mauvaise directrice. Quelle conne ! Elle était aussi une mauvaise mère. Grâce à cela, j’ai eut le droit à un sermon sur le fait qu’elle m’avait fait une faveur en m’acceptant dans son école vu le dossier scolaire que j’avais et patati et patati.

Après cela, j’ai décodé de rester près de lui et de le protéger. C’était d’autant plus facile puisque l‘on était dans la même lasse et que sa maison était sur mon chemin. Il était gentil comme garçon, mais je dois avoir qu’il était parfois un peu barbant. Au moins, ça rendait heureux mes parents de voir que j’avais un « ami », même si cela avait été dans de drôle de circonstance. Malheureusement, un évènement nous sépara. Durant l’été de mes 11 ans, un hibou pénétra dans la maison alors que mon père sortait les poubelles. C’était à moi de le faire, mais j’avais encore « oublié ». Quand je l’ai vu, j’ai été surprise, mais pas autant que lorsque j’ai réalisé ce qu’il tenait. J’ai tendit le bras et j’ai saisit la lette. Sur le dessus de l’enveloppe, d’une magnifique calligraphie, mon nom était écrit. Curieuse, j’ai ouvert la lettre. Dans la vie, il y a des choses qui vous surprennent et celle-ci me fit l’effet d’une bombe. J’étais, j’étais une sorcière. Étrangement, quand j’ai annoncé la nouvelle à mes parents, ils semblèrent moins surpris que moi. En fait, ils ne réagirent même pas. Mon père à finit par m’avouer qu’ils le savaient depuis que j’avais trois ans. À cette époque, j’ai mis le feu dans les cheveux d’une vieille dame… Il savait que c’tait moi parce qu’il n’y avait personne dans le parc à ce moment là et qu’un homme était venu réparer le petit problème en avouant la vérité à mes parents.

Je dû mentir à Kyle en lui disant que l’école ne voulait plus de moi et que j’allais devoir aller en pension à Manchester. Il voulait venir avec moi, mais j’ai dû ajouter que c’était une pension simplement pour fille. J’ignorais si cela existait vraiment, mais je n’avais pas le choix. Il a eut le cœur brisé, mais je lui promis de revenir aux vacances.

Quelques jours avant la rentrée, j’ai été toute seule sur le chemin de traverse pour acheter mes fournitures scolaire. Je n’avais pas peur et tout se passa plutôt bien. Il suffisait simplement de regarder un peu les autres pour comprendre le principe. Comme il me restait un peu d’argent à la fin, j’ai décidé de faire un tour dans l’animalerie. Mes yeux tombèrent en amour avec un petit chaton blanc. Heureusement, il me restait juste ce qu’il fallait pour me l’acheter. Quand j’ai été de retour à la maison, maman n’était pas d’accord avec le fait que j’aille un chat, surtout que ce n’était pas cela qui allait nous permettre de communiquer, mais quand elle lui vit la petite bouille, elle ne put que tomber en avoir avec lui ou plutôt elle. Je lui promis alors de demander s’il y avait un moyen d’emprunter un hibou pour transmettre le courrier une fois à Poudlard. Le jour du départ, toute la famille était là, sauf Jayden et Jack. Le petit ignorait ce que j’étais réellement et il était encore trop jeune pour le savoir. Dans le train, j’ai passé la moitié du temps à essayer de trouver une place de libre, mais j’ai finit par me retrouver dans une cabine avec 3 mecs totalement débiles. La chance.
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Rang: Quidditch - Poursuiveuse
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Valentine Nolwenn Empty
MessageSujet: Re: Valentine Nolwenn   Valentine Nolwenn EmptyMer 19 Mar - 14:21

On était le 1er septembre 2002 quand je mis pour la première fois les pieds dans la grande salle. On devait être réparti et j’avais hâte de savoir dans quelle maison j’allais être. J’y connaissais rien, mais à voir la disposition des tables, je savais déjà qu’il y avait quatre maisons de disponible. J’ai entendu une voix dernière moi et des rires. Je ne connaissais rien aux termes de sorciers, mais je savais que ce n’était pas très aimable de se faire traiter de sang-de-bourbe. Alors, quand personne ne regarda, j’ai empoigné le jeune homme par le collet avant de le plaquer au mur. Mon geste était loin d’être tendre, mais je n’étais pas d’humeur à plaisanter. De toute manière, je ne l’étais jamais. Mon nez était presque collé contre le sien quand je lui ai dit ma manière de penser. Je ne criais pas pour ne pas attirer l’attention, mais les gens près de nous pouvaient facilement entendre ce que je lui racontais. J’ai finit par le relâcher et je me suis fondue dans la foule.

Mon nom finit par être prononcé et, sans rien attendre, j’ai été m’asseoir sur ce banc, attendant de me faire mettre cet horrible chapeau sur la tête. Pendant qu’il essayait de se décider, il évoqua l’incident du moment, puis il cria haut et fort : Serpentard ! J’ai eut le droit à seulement quelque applaudissement à cause que j’étais la fille de moldus, maison qui n’acceptait pas vraiment ce genre de personne, mais je me fichais pas mal de ce que ces petits cons pouvaient penser. J’allais leur montrer ce que j’étais capable de faire.

Et je n’avais pas menti. Les gens apprirent rapidement qui j’étais et qu’il ne valait mieux pas plaisanter avec moi. Je sais, ce n’était pas comme cela que j’allais me faire des amis, mais… Vous savez, il y a toujours des choses étranges qui arrivent. Au fils et à mesure que les semaines passaient, je me suis nouée d’amitié avec le type qui s’était foutus de moi lors de la répartition. J’ignore encore comment cela à pu se produire puisqu’il était un petit Serpentard qui ne pensait qu’au sang pur, mais c’était comme cela. Au travers de cette première année, j’appris diverses choses comme que j’avais une horreurs du cours de potion, sans doute parce que je n’étais affreusement pas douée. Par chance, il se trouvait que j’étais beaucoup plus doué en sortilège et en défense contre les forces du mal.

Durant ma seconde année, j’ai essayé d’intégrer l’équipe de Quidditch en tant qu’attrapeuse, mais il se révéla que je n’avais pas un talent pour attraper cette petite boule. Mais le capitaine me propose de faire un essaie ne tant que poursuiveuse. Selon lui, j’avais le style parfait qu’il fallait pour ce poste. Une gentillesse de la part d’un Serpentard ? Il ne fallait pas trop compter là-dessus. En fait, c’était simplement parce qu’il voulait former la meilleure équipe possible. Étrangement, il ne se trompa pas. J’étais faite pour jouer à ce poste et je le démontrai à plusieurs reprises.

Ma troisième année fut tout de même un peu plus calme. La seule chose qui se passa durant celle-ci fut quelques copains, mais rien ne se passa très bien entre eux et moi. Bon d’accord, il y a eut de nombreuse retenue, mais ça n’avait rien de nouveau. Cela avait toujours été comme cela depuis que j’étais entré à l’école.

Quand je fuis en quatrième année, vers le moi d’avril, je reçu une lettre qui me brisa le cœur. C’était le matin, dans le réfectoire. Je repliai la lettre que j’enfouie dans le fond de mes poches et j’ai continué comme si rien n’était. Après les cours, j’ai réussi à chasser les filles qui occupaient la même chambre que moi. Il fallait dire que ce n’était pas bien compliqué. Pendant une bonne partie de la soirée, j’ai pleuré. J’ai pleuré jusqu’à m’endormir. Kyle. Kyle était mort. Kyle c’était suicidé. Kyle n’était plus de ce monde. Kyle s’était fait enlever la vie. Kyle s’était fait poussé jusqu’à la mort. J’aurais du m’en douter que, sans moi, les petits cons allaient de nouveaux s’en prendre à lui, mais je n’avais pas réalisé à quel point ils lui avaient fait tant de mal sans moi. Peut-être que c’était aussi de ma faute. Pendant un bref moment, je lui aie donnée mon amitié, pour ensuite partir et le laisser seule. Personne à Poudlard ne connu jamais cette histoire, personne. L’été, J’ai recroisé ce type, le fils de la directrice de l’ancienne école moldus que j’ai fréquenté. Pendant un moment, j’ai voulu lui jeter un sort qui lui ferait regretter, mais je n’allais pas gâcher ma vie pour ça. J’ai préféré le rendre un peu folle en le suivant durant un été complet et en murmurant, chaque fois que je passais près de lui « Meurtrier ». À la fin de l’été, il essaya de me tabasser, mais il ne réussis pas et c’est plutôt moi qui lui fit très mal. Dans un match un contre un, inutile de chercher à me vaincre, surtout si l’on ne sait pas se battre.

Un peu avant de quitter pour prendre le train, un hibou vient de déposer à la fenêtre de ma chambre À ce moment-là, je me suis demandé ce que j’avais fait de mal. On me renvoyait ? J’ai alors ouvert la lettre et j’étais sous le choc. On m’avait nommée préfète, un poste que tout le monde rêvait d’avoir, mais que je ne voulais pas. Je ne dis rien à mes parents. J’allais remettre l’insigne au professeur qui allait donner les consignes aux préfets. Dès que je fus dans le train, je me dirigeai vers cette cabine, l’insigne en main, mais, au dernier moment, j’ai changé d’avis. Il fallait saisir toutes les occasions pour obtenir ce que l’on voulait et ce poste en était une. J’ai alors accroché mon insigne et j’ai entré dans cette cabine.

L’année de ma sixième fut des plus étranges. Plusieurs choses arrivèrent sans que personnes ne puissent vraiment les expliquer. Malgré tout, j’ai réalisé que j’adorais les mystères et que les résoudre me procurait un réel plaisir. D’ailleurs, j’aurais été servi en Égypte lors de notre voyage à bord du Phoenix, mais je n’y suis pas descendu à cause de ma stupide peur. À notre retour à Poudlard, j’ai reçu une lettre qui me jeta par terre. Jayden, mon petit Jayden était un magicien, tout comme moi. J’avais très hâte de le revoir, mais j’allais devoir attendre après la répartition. D’ailleurs, lorsque l’on prononça son nom, on se retourna vers moi et certains me demandait si c’était mon petit frère. M’entendre dire que j’étais marraisne en fit glousser certaines, mais un simple regard et tout était réglé. J’avais si peur qu’il soit à Poufsouffle, mais le destin en décida autrement pour lui.



V. Famille …
Famille : Ma famille est plutôt grande, mais il y a seulement quelques personnes qui comptent vraiment à mes yeux.

  • Grand-père : Dean Ryan Nolwenn est devenu un grand avocat de Londres à force de s'acharner. Malgré le fait qu'il a 70 ans bien sonné, il continu toujours d'exercer dans certains dossiers importants. Il adore les grandes réceptions et les grandes soirées mondaines où il adore inviter nous inviter. Par chance, depuis que je suis à Poudlard, j’arrive à m’en sauver la plupart du temps, sauf si je rentre à la maison pour les vacances. Il est veuf depuis plusieurs années, mais il n’a jamais trouvé une femme pour remplacer la sienne.

    Mère : Maria, car tel est son nom, me ressemble quand même beaucoup, mis à part quelques détails, comme les cheveux et la taille. Elle a 49 ans, mais elle est toujours aussi sublime qu'il y a 20 ans. Elle travaille comme médecin dans un hôpital de Londres. Elle est d'une nature très douce, emphatique, mais elle sait être ferme quand il le faut, sauf que je ne l’ai jamais vraiment écouté.

    Père : Il y a des gens qui se demandent qui il est bien mon père car, physiquement, on n’a aucune point en commun, si ce n'est qu'une partie de leur code génétique. Jacob est âgé de 50 ans. Il est grand, ses cheveux sont presque entièrement devenus gris, mais ses petits yeux noisettes ont toujours cette petite lueur qu'il avait dans sa jeunesse. Il travaille comme capitaine dans une caserne de pompier. C'est un homme courageux qui, pour rien au monde, ne voudrait laisser un homme derrière lui. C’est sans doute pour cela que j’avais si peur qu’il ne rentre pas du travail quand j’étais petite.

    Jack : Jack est le plus vieux de mes quatre frères. Âgé de 29 ans, il est avocat dans une prestigieuse firme de Londres, soit celle de grand-père. Il ressemble beaucoup à papa, sur le plan physique et même sur le plan psychologique, mais on s’entend plutôt bien, malgré les 12 ans qui nous sépare. Il est père d'une petit garçon de 11 ans suite à une aventure d'un soir avec fille. Elle a mené la grossesse à terme, mais elle a renoncé à ses droits sur l'enfant, le laissant à Jack. Malgré son jeune âge, il s'en est toujours très bien occupé.

    Calvin : Il est âgé de 25 ans et il agit parfois comme une véritable tête brûlée. Charmeur depuis sa plus tendre enfance, il n'a jamais réussit à avoir une relation sérieuse. De plus, il fait craquer toutes ses étudiantes qu'il a dans son cours de littérature. Elles se laissent toutes emporté par son sourire, sa fossette au menton et par ses beaux yeux bleus.

    Adam : Il est à peine plus jeune que Calvin. Ils ont moins d'un an de différence, ce qui fait en sorte que ce jeune homme a 24 ans. Il est presque aussi blond que moi, mais il tient ses yeux de papa. Il est une personne assez timide, mais son intelligence et sa beauté ne doit être jamais être remis en doute. On n’est presque tout le temps en train de se chamailler, pour un oui ou pour un non, mais c'est toujours moi qui gagne. Il travaille à temps partiel dans un magasin d'électronique pendant qu'il étudie pour devenir un ingénieur spécialisé dans les avions.

    Matt (Matthew) : C'est certainement avec lui que je m’entends le plus mal, mais c'est peut-être aussi une question d'âge. Âgé de 20 ans, il étudie dans une importante université de ce beau pays si ancien et rempli de culture. Il est un grand sportif et ce n'est pas pour rien qu'il fait partie de l'équipe de football de son université. Il étudie pour devenir linguiste, d'où son immense talent avec les langues. Depuis 2 ans, il sort avec la même fille qui a succombé à ses magnifiques yeux verts et surtout, à sa chevelure d'ébène, quoi que le reste du corps n'est pas mal non plus. Je n’arrive pas à croire que je dis cela de mon frère, mais c’est pourtant le cas. Il est un grand farceur, mais ses blagues sont parfois douteuses. Rectification, elles sont tout le temps douteuses et foireuses.

    Jayden : Lui, c'est le fils de jack et, pour mon plus grand malheur, il se trouve qu'il est lui aussi un sorcier. Ce n'est pas que je ne l’aime pas, mais il est, comment dire, un peu collant. En fait, il est le contraire de moi. Il est adorable, gentil, il adore les câlins, il est toujours joyeux, etc. Au moins, je dois me compter chanceux qu'il n'a pas atterrit à Poufsouffle parce que je ne sais pas comment j'aurais réagi. Malgré le jeune âge que j'avais, j'ai été nommé marraine de Jayden. Un moyen pour me faire devenir plus tendre ? En fait, ça n'a pas vraiment fonctionné comme prévus. Je suis juste très tendre avec lui. Les autres, qu'ils aillent se faire...


Ce sont presque les seules personnes avec qui je ne m'emporte jamais, mais des incidents arrivent quand même.
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