[Intrigue] Les fesses dans l'eau...

Le seul truc pire qui pourrait arriver était que quelqu'un la trouve ainsi...
Et comme le Papi de Julian le disait si bien, « Si tout est disposé pour aller de pire en pire, alors tout ira de pire ne pire, c’est le destin ». Bien-sûr, Julian ne croyait pas réellement a ces sottises, mes ses statiques mentales lui avaient dernièrement révélées que son Papi avait quelques fois – pour ne pas dire tout le temps - raison. Le Papi de Julian, être étrange à la barbe blanche, aux oreilles pointus et aux yeux bleus azurés. C’est sûrement de la que Julian tiens ses yeux affreusement bleus (Que d’ailleurs, il déteste tout particulièrement). Cet être insolite était un spécimens rare de la race des « Je dis ce qui me plait, les autres n’ont cas pas m’écouter si cela les dérange » Et cette phrase, si bien dite d’ailleurs, est supportée par un ton lasse et ennuyé. Julian adore ça. Mais bon, assez parler des statiques mentales de notre cher Julian, Car celui-si est présentement en pleine panique inter-planétaire, car – vous ni croirez pas – il lui pousse un museau! Un vrai de vrai museau. Un museau de chien? Ou de chat peut-être, ce qui est sûr par contre, c’est que ce n’est pas un museau de cochon… Et puis, c’est bien une chance. Il n’est pas très agréable d’avoir en pleine poire un truc tout froid et mouiller qui pousse, mais alors si ce truc aurait été tout rose et tout gros… L’horreur, quoi. Un museau qui sent pourtant bien les odeurs, c’est un avantage.
Mais au juste, que lui arrive t’il? Un mauvais tour de Peeves? Ou alors, un premier année qui a encore fait des siennes dans les dortoirs et renversé une potion de transformation animal? Si ça existe bien-sûr! Mais ce qui est sûr pour l’instant, c’est que Julian sent très bien l’odeur du déjeuner qui se prépare dans les cuisines à plusieurs mètres de lui et qu'il a terriblement envi de se gratter le dos… Bizarre non? Première impression : « Je deviens un super héros! »

Pas très malin, pas très intelligent, mais plutôt… réaliste quoi. Bientôt, on pourrait l’appeler super-wolf ou alors, encore mieux wolfman. Mais pour l’instant, il aimerait bien comprendre le pourquoi du comment il a un truc tout trempe à la place du nez et pourquoi dans son dos pousse une tonne de poils qui en plus de ça : gratte-gratte-gratte.

Pas le temps de dîner. Il n’y pense même pas. Tout ce qu’il veut pour l’instant, détendre ses pattes et courir un peu pour relaxer. J’ai bien dit pattes? Oo … Je voulais dire jambes. Voyons, ou avais-je la tête, désolé. Donc, Julian voulais détendre ses Jambes et rien n’est mieux pour cela que d’allé faire une course matinale dans le parc. Il se leva donc, se grattant toujours dans le dos, son dos qui lui piquait de plus en plus. Il allait s’habiller rapidement, ne faisant pas attention a ses ongles qui avaient drôlement poussés pendant la nuit. Même sans remarquer cela, Julian se grattait toujours autant et trouvait cela un pois de trop désagréable.

* Mais qu’est ce qui passe! J’ai pas envie de ma gratter toute la journée*

Il sorti doucement de son dortoir, sans vraiment remarquer les autres élèves de sa maison qui se posait des questions existentiel quant à un oreille poilus ou un pied tordu ou alors même à une aile qui semble vouloir pousser dans le dos de quelqu’un. Julian ne remarqua pas tout cela, car il ne pensait qu’a une chose, courir. Il voulait a tout pris courir. Il dévala les marches de la salle commune a une vitesse hallucinante et sorti presto-presto à l’extérieur de l’école. Courir courir courir!

Il courait, de plus en plus vite, toujours plus vite. Et il ne se manqua pas. Il tomba comme une fusée dans l’eau, l’eau froide du matin. À mais non! Il n’avait pas pu courir aussi vite. Il n’avait jamais été un coureur d’élite. Julian avait toujours été un flemmard. A la petite école, ce qu’il n’aurait pas fait pour rater un de ses cours d’éducations physiques! Halala… la belle époque.
Remontant sa tête hors de l’eau, il remarqua la jeune fille qui observait son oreille, qui elle aussi avait durement changé de forme… ou alors, c’était un fille vraiment poilus :boogie:
Vue l’expression de cette fille, cette oreille la n’était pas dans son état normal. Tout comme le dos et le nez Julian d’ailleurs.
Point positif : On remarquerait maintenant moins ses yeux d’un bleu pétant et pourrait mieux voir son nez… peut-être pas très joli, mais au moins on le remarquerait. C’était déjà ça.


"RHAAAAAAAAAAAAAA!! PAS POSSIIIIIIBLEUUUUUUH!"

*Bah, si regarde-moi, regarde mon nez, regarde mon dos et regarde.. MES DOIGTS! *

Oulala, ça avait encore empiré. Rien de tel que de longues griffes pour repousser les gens à 30metres de soi! Julian, en parfait gentleman s’approcha de la petit silouhette flottante, sans etre trop pres non plus, un mauvais mouvement et la jeune fille pourrait dire adieux a son joli visage. C’est pas tout les jours qu’on rencontre un homme-griffes-vivant. C’est plutôt impressionnant, mais pas très pratique. Sauf si on manque de couteaux… ouais.
Bref. Il ne reste maintenant plus qu’a attendre qu’elle le remarque…

HJ: oui oui parfaitement libre!

Les fameuses lois de Murphy... Rhaa, elles les avaient oublié celle-là. Quand ça va de mal en pis, il y a tout à espérer que la prochaine chose qui arriverait serait pire. Pure logique me direz-vous, mais dans le petit cerveau fougueux d'Amy, la logique ça se contre. on appelle ça la révolution. De toutes façons, il n'y avait pas de révolution à faire, puisque le cerveau d'Amy était ce qui se rapprochait le plsu de l'anarchie. Rien de rangé, tout en vrac, et pourtant ça marche. oh, vous me direz que ça ne marchera pas longtemps comme ça masi détrompez-vous. L'anarchisme peut durer quand toutes les cellules sont en accord.. Mais laissons-là ces considérations politiques, car le cerveau d'Amy n'était pas prêt à recevoir une quelconque autorité. Et ce n'était pas ce Murphhy qui l'y obligerait. Mais là, il fallait bien admettre que... Qu'il y avait un jeune homme qui la voyait dans cette situation pitoyable. HHumm.. Que faire? L'ignorer. Oui c'était ça. Il était loin en train de courir.. Pas forcé qu'il la voie... Dommage. Comme quoi il devait y avoir un fond de vérité chez ce cher Murphy. Le jeune homme fonçait droit das sa direction... Et arriva dans le lac. Pas doué quand même. Malgré la situation désastreuse, elle ne put retenir un sourire moqueur. C'était l'hôpital quis e foutait de la charité: une petite fille avec une oreille de chien.. non DEUX? Comment ça DEUX?? Pas possible... Oui, oui, impossible n'est pas poudlarien et alors?

Bref et le voilà que ce monsieru s'était levé et lui parlait. il avait pas honte tout de même avec son museau de chat et ses poils. Non non, elle ne s'étonnait même plus. Apperemment il faudrait faire avec. Elle se relava donc de son bain improvisé, et frotta son jean... Ce qui n'empêchait pas l'eau de couler, et surtout de la tremper. Hummm, le jean collant, il n'y avait pas mieux comme sensation. Ah si, peut-être le picotement qu'elle ressentait sur son nez.

"Bon j'admets, c'est possible... "

fit-elle avec un haussement d'épaule et un rire résigné. Elle porta sa main à son nez pour se gratter...; Ah non, sa truffe, pas son nez. Un début de truffe....

"Mais t'es grand toi, tu dois avoir une solution? Pourquoi on nous débarasse pas de ça?"

Elle se concentra pour tenter de modifier son nez grâce à ses talents de métamorphage. Impossible. Pourtant ça marchait toujours. Un léger *Pop* se fit entendre et ses yeux roses devinrent jaunes et verts. Pourquoi elle ne pouvait pas se débarrasser de ces oreilles et de cette truffe ridicules? C’était une magie spéciale, plus forte que son don... Qui voudrait que les élèves se transforment ainsi? Elle regarda le jeune homme et dit

"Bon, c’est pas parce qu’on ressemble à rien qu’on doit pas se présenter! Je suis Amy Dashwood, 1ère année à Gryffondor, et prochainement chihuahua j’imagine...
Tu sais pourquoi on se transforme comme ça? Et pourquoi je peux as me transformer? Je suis métamorphage normalement..."

La jeune gryffondor arrêta de raconter sa petite vie, car dans un sursaut d’intelligence (oui oui, les cellules anarchistes réfléchissent comme les cellules d’un cerveau démocrtaique, faut pas croire!) elle décida de laisser l’occasion au jeune garçon de parler.. Sinon il ne pourrait pas en placer une. Et écouter Amy parler, peut être une forme de torture psychologique qui avoisine la cruauté.

> En théorie, quand je mets mon texte entre étoiles, c’est que mon personnage pense. Mais bon, c’est pas grave ça change pas grand chose. =) <

La jeune fille se tourna enfin vers lui. Pas habituer, non-non, pas habituer du tout petit Julian avec les relations sociales. La preuve, il prit peur. Comme un enfant de 6ans qui voit un gros chien pour la première fois ? Pas que la jeune fille devant lui ressemblait à un gros chien non, loin de la. Il aurait même honte de penser cela, mais Julian a peut des gens. Les relations sociales, vaut mieux s’en éloigner que d’essayé de les trouver. Elle lui parlait comme si depuis deux ans elle le connaissait. Alors qu’en fait, il n’avait jamais vu cette fille dans son école. Malgré que bon, il ne remarque jamais grand chose dans cette école. C’est grand Poudlard… même après 4ans dans ce château, Julian a de la difficulté à se rappeler par cœur ou sont ses salles de cours. Il a pour la plupart du temps besoin de demander à sa sœur de lui monter le chemin. Et c’est pas très agréable, surtout quand celle-ci se pavane avec ses amies qui sont pour la plupart, très jolies.
Bref, trêve de bavardage, pour l’instant il faut que Julian écoute la fille, la fille devant lui. Sinon, il aura encore une fois l’air d’un lunatique… Bien parti, il vient de manquer la première partie de son monologue. Tout ce qui a entendu, quelques mots seulement on peut s’en douter, : solution, débarrasse et ça. Bon. Ca n’avance pas beaucoup de ce coté. Le pire, tout ce qu’il trouve à répondre est :

« Que..Que-quoi? »

Ensuite, c’est de pire en pire. La jeune fille aux yeux rose devint aux yeux jaunes et verts.
Et qu’est ce que vous penser qu’il va croire Julian? Vite comme il est, il va tout de suite comprendre qu’elle est métamorphage, bien-sûr …

*Quoi? Parce que tu te transforme comme tu veux-toi? Alors que moi je suis coincer avec un nez de loup, de longue griffe et un dos poilu! Quoi de plus sexy… .__.*

Bien-sûr, il ne fit que penser à tout cela. Il n’allait quand même pas s’emporter devant une inconnue, pas son genre… non, pas du tout. Julian est un ange, tout le monde le sait. Son Papi lui a dit qu’il irait au paradis, c’est un signe et les signes ne trompent jamais. Surtout les signes de Papi.

Et puis, bien voilà que la jeune fille pas du tout gêner à l’avis de Julian reprit la parole. On ressemble à rien? Quoi!? Julian ressemble e a rien? Non pas du tout, Julian est très beau.
Pourquoi ils se transforment comme ça? Il n’en a aucune idée. Comment se transformer? Il n’en sait encore moins rien. Mais alors pourquoi elle lui pose ces questions alors qu’il y a deux minutes à peine, elle se transformait tout bonnement, comme si de rien n’était devant ses yeux. Elle le prend pour un troll ou quoi? Il est quand même plus intelligent que ça notre Julian.

"Je suis métamorphage…"

C’est à ce moment qu’on se sent idiot. Ou plutôt, c’est à ce moment que Julian se sent idiot. Très idiot, le-roi-des-idiots-en-cavale-mon-dieu-seigneur-aidez-nous!
Métamorpahge, il n’aurait pas pu y penser plus tôt? Alors qu’il se sent comme le plus idiot de la terre –Et je tiens à dire qu’il y en beaucoup plus qu’on croit des idiots sur terre- Julian répondit, d’un ton lasse :

« Je sais pas pourquoi je suis comme ça et je sais pas comment enlever ça.»

Puis silence. Qu’est ce qu’il pourrait dire de plus? Son nom, sa maison, son année? Non, Julian ne pense pas a sa. Faire deux choses a la fois demande beaucoup de concentration. Et pour l’instant, toute la concentration de Julian est prise pour qu’il se dise, intérieurement; Je suis idiot.
Ca demande beaucoup de concentration, non?
Bravo Julian, bravo.