Kôniassa Tear...

Nom: Tear.

Prénom: Kôniassa.

Surnom: Kô, le beg, la chose...

Date de naissance : 25 Décembre.

Âge: Quinze ans.

Signe astrologique : européen => Capricorne.
Chinois => Singe.

Maison : Serdaigle.

Rang social : De parents moldus.

Origine: Mi Japonais, mi Anglais. Né au Japon et parfaitement bilingue.

Orientation sexuelle: Homosexuel.

Amis/Amours: Tout le monde a toujours eut peur de lui, il n'a jamais eut d'ami et le seul dont il est tombé amoureux l'a violement rejette.

Famille: -Un père: Morwen, décédé des suite de ses crises.
-Une mère: Ysia, décédée en mettant sa fille au monde.
-Une fille: Belyandra, morte à la naissance.

Religion: Wiccan

Description physique: Kôniassa n’est pas très grand, environ un mètre soixante et un, sa maladie à stopper sa croissance. Il est extrêmement maigre avec ses trente cinq kilos. Sa peau est extrêmement pale et il a sans cesse l’air maladif. Comme si il ne lui restait qui quelques jours à vivre, ce qui est bien sur faux. Kô est donc très frêle, puisque sa maladie lui interdit la plupart des sports.
Les traits de Kôniassa sont plutôt agréable à regarder, au vu de leurs finesses. Il a de très courts cheveux noirs avec une frange sur la devant, perpétuellement en bataille, mais il se plaît à les portés ainsi. Il a les yeux en amende, des yeux d’un noir intense et envoûtant. Des yeux qui reflètent toutes les émotions que le jeune homme peut ressentir.
Il porte toujours des bottes lourdes et larges. Il alterne des larges pantalons kaki avec de nombreuses poches et des pantalons en cuir moulant, selon son humeur. Qu’il pleuve qu’il vente ou qu’il fasse beau il porte des débardeurs noirs ou kaki et une veste bleu/noir sans manche. Il porte également de larges bracelets de forces noirs. Autour de son cou une mince chaîne avec un pendentif. Son père les lui a offert à ses quinze ans.

Caractère: Kôniassa est très attacher à ses origines et refuse catégoriquement qu’on dise du mal de ses parents ou même de sa petite sœur. Kô est un vrai petit génie et est capable d’assimiler n’importe quoi en un laps de temps record. Kôniassa ne supporte pas de voir les gens triste, il fera toujours tout pour faire retrouver le sourire aux autres, s’oubliant bien souvent lui-même. On peut dire qu’il dépend de caractère des autres : Si il vous voit sourire, il sourira ; Si il vous vois pleurer, il vous remontera le moral ; Si il vous vois énerver, il sera triste…
Kôniassa est le genre de personne à se laisser marcher sur les pieds, car il n’aime ni rendre les gens triste, ni les voir s’énerver contre lui. Kô pense toujours au bonheur des autres avant de s’occuper du sien, si bien qu’on ne le voit jamais pleurer et toujours sourire. Le Japonais est quelqu’un de fondamentalement tendre, il n’hésite pas a partager cette tendresse moralement, avec les personnes qu’il aide, mais aussi physiquement, en prenant les personnes que ses paroles ne suffise pas a sortir de déprime au creux de ses bras… au minimum… Il donne toujours sans compter, même si il doit, à cause de ça, tout perdre.
Lors de ses crises, Kôniassa devint quelqu’un de taciturne et de solitaire. Il n’aime pas que les autres ait pitié de lui, il préfère se débrouiller seul, jusqu'à ce qu’elles passent. Mais, si un jour quelqu’un peut surmonter ses coups de gueule, Kô lui en serra fortement reconnaissant et à cent pour cent redevable. Kôniassa a peur de finir comme son père, mais Xan ne lui a pas dit que si il passait ses vingt ans sans avoir d’hospitalisation, puis ses trente ans sans avoir de coma cette maladie lui serait plus supportable et surtout moins dangereux.

Histoire: Morwen Tear était universitaire à Oxford, tout comme Ysia Terashima. Les deux jeunes gens étaient dans la même classe et le garçon était amoureux d’elle, mais il n’osait pas se déclarer. Pourquoi ? A cause d’une maladie qui le touchait depuis toujours et de rumeurs…
Lorsque sa maladie se déclanchait, Morwen était très faible et tombait dans les pommes. A cause de ça il était aussi très fragile quand aux autres maladies. C’est pourquoi personne ne voulait jamais l’approcher, on le craignait comme si il avait la peste.
Ysia, quand à elle, était la chef des pom-pom-girl. On racontait qu’elle avait un copain car dès qu’on lui proposait une sortie romantique, la réponse était toujours un non catégorique. Mais le jour où elle fut interrogée tous apprirent qu’elle était célibataire. Personne ne comprenait son comportement.
Morwen était sans doute le seul à ne pas avoir tenter sa chance avec Ysia. Et il n’osa pas le faire avant le bal de fin d’année de leur dernière année. Cette année là, une semaine avant le bal, pale comme la mort, Morwen alla voir la jeune femme.

« -Mademoiselle Terashima ? Je… Peux vous parler un instant ?- »

« ~Haï… Tear-kun… Allez y…~ »

Morwen était écarlate. Et sur son teint pale cela se voyait encore plus.

« -Je… Vous… Tu voudrais être ma cavalière Ysia ?- »

« ~Ah ! Ça fait depuis mon arrivée que j’attend que tu te décides !~ »

Ainsi elle partageait pleinement ses sentiments, depuis toujours. Et c’est dès ce jour qu’ils commencèrent à sortir ensemble.
Un garçon naquit de cette union quelques temps plus tard, Ysia avait alors emmener sa petite famille au Japon pour trouver un traitement contre leur maladie, car Morwen l’avait transmise à son fils. C’était donc une maladie génétique que Morwen avait transmise a Kôniassa, son fils. Ysia ne lui en voulait pas, ce n’était pas de sa faute après tout…
Kôniassa était un petit génie. A un an il parlait déjà comme un enfant de cinq, bégaiement mis a part… A ces un an, il alla auprès de sa mère que son père était cloué au lit, victime d’une de ses crises. Le gamin posa une main sur le ventre arrondi de sa mère.

« Ma… ma… maman y’a qu… qu… quoi dans t… t… ton ventre ? »

« ~Kô… C’est le fruit de notre amour à ton papa et à moi… Comme toi tu l’es~ »

Le bébé donna un coup de pied et Kôniassa sursauta.

« Dis ma… ma… maman, c’est qu… qu… qui qui ta… ta… tape ? Y’a un b… bé… bébé là de… de… dedans. »

Oui, déjà à un an il comprenait les choses de la vie. Il était tout heureux d’avoir un petit frère ou une petite. Mais lorsque le jour arriva, ni son père, ni lui ne purent assister Ysia. Il dut donc attendre dans le couloir, tout les deux au bord de la crise. Il ne se passa pas une minute sans que Kôniassa, blottit contre son père, et ce dernier ne s’inquiète pour la Japonaise.
Après quatre heures de travail, les médecins vinrent voir Morwen…

« Monsieur Tear… Nous sommes désolés… Nous avons fait tout ce que nous avons pu…mais nous n’avons pus les sauvés ni l’une, ni l’autre… »

Kôniassa ne compris pas, ou plutôt ne voulus pas comprendre. En voyant son père pleurer le gamin tira faiblement sur sa manche. Avant de lui demander d’une petite voix :

« Pa…pa… papa ? Pou… pou… pourquoi tu… pleu… pleu… pleure ? El… el… elle est où ma… ma… maman ? I… I…Il est où le bé… bé… bébé ? »

Morwen soupira et regarda son fils avant de l’emmener dans la chambre où reposaient les deux filles. Le jeune garçon se précipita vers sa mère et lui pris la main.

« Ma… ma… maman ? Pou… pou… pourquoi tu ré… rép… répond pas ?? Tu do… do… dors ??? »

« -Oui, c’est ça mon chéri… Elle dort d’un sommeil plus profond que l’habitude.- »

« Et e… e… elle se ré… ré… réveillera qu… qu… quand ? »

« -Tu ne la verra plus éveiller mon cœur. Elle dort pour toujours, elle est partit rejoindre ses parents…- »

Kôniassa sentit son cœur se serrer… Au moins il aurait sa sœur sur qui veiller ! Il se précipita vers le berceau et regarda le visage pale du nouveau-né…

« Pa… pa… papa ? I… i… Il do… do… dort aussi la bé… bé… bébé ?? »

« -Oui Kô, elle était trop petite pour se réveiller sans ta maman… Elle était trop faible…- »

Et Kôniassa fondit en larmes dans les bras de son père. Ils étaient seulement tout les deux maintenant. En accord avec son fils, Morwen nomma son enfant mort-né Belyandra. Les deux garçons mirent un temps fou à se remettre un minimum de cette perte. Car ils ne pourraient jamais s’en remettre entièrement.
Morwen appris à Kôniassa à s’occuper de lui-même, à pouvoir gérer ses crises et sa maladie. Mais les années passèrent et jamais le Japonais ne pus se faire d’ami. Tout le monde craignait sa maladie en voyant ça comme une malédiction. Kôniassa voyait son père s’affaiblir de jour en jour et commença à passé tout son temps de libre à son chevet.

« - Tu ferais mieux de te faire des amis pendant que toi, tu es en bonne santé…- »

« Ne… t… t’en fait pas. Ça me f…f…fait plai… plai…plaisir de re… re… rester près de t… t… toi ! »

« -Tu es trop gentil Kô ! J’envie la personne qui touchera son cœur…- »

Voila la conversation qui se passait au moins une fois pas semaine chez lez Tear. Mais personne n’avait encore touché le cœur du garçon.

Kôniassa vivait seul avec son père lorsqu’il avait reçut une lettre d’une certaine école de magie. M Tear avait demander une entrevue avec le directeur avant d’accepter d’y envoyer son fils, des dons exceptionnels qui n’apparaissait que très rarement du jour au lendemain.

Kô resta assez solitaire, il retrouvait les garçons du quartier à chaque retour chez son père, à chaque vacance. Pendant toute sa première année, le jeune restait avec eux, subissant sans cesse leurs moqueries et leurs bizutages… Pourquoi ? Parce qu’il était la lui ! Il se nommait Torak et Kôniassa était très attiré par lui. Après des mois d’amour silencieux, Kôniassa se décida à lui parler…

« To… To… Torak-kun je p… p… peut te pa… pa… parler ? »

Le jeune homme le regarda agacé.

« Qu’est-ce que tu me veux le beg ? »

« Je… s… s… suis am… amou… amoureux de t… t… toi… »

« T’as vraiment tout pour toi le beg ! En plus de ta maladie t’es homo !! Dégage !!!"

Kôniassa se crispa et se passa une main dans les cheveux gardant un air détendu…

« Je… je… je suis co… co… comme je su… su… suis ! »

Il se retourna violement et partit en courant, le cœur brisé. Il rentra chez lui mais ne vis pas son père…

« Pa… pa… papa ? T… t… t’es où ? »

Il monta dans sa chambre pour le voir endormit… du moins en apparence. Il se rapprocha et lui pris la main, elle était glacée. Aussitôt il entrepris le premiers secours mais il était trop tard, son père avait déjà rejoint les femmes de sa vie dans l’au delà. Il fut mis en terre avec elles.

Durant deux ans, Kôniassa lutta contre tout ceux qui s’en prenaient à lui comme il le pouvait, il avait délaissé les jeunes du quartier, il se concentra sur ses études de magie. Kôniassa souffrait et s’affaiblissait de jour en jour, jusqu'au début de l’année scolaire de ses qinze ans.

Après une crise, il fut envoyé à l’hôpital, puis transférer à St Mangouste, où il fut exempté de cours pendant quelques temps... Puis, quand les médecins jugèrent que son état de santé s’était amélioré, il lui fut permis de retourner à Poudlard, à la condition que le jeune homme revienne à l’hôpital chaque été et chaque vacance ou il se sentirait mal.

Signe distinctif: Il bégaye. Il est atteint d'une maladie génétique le touchant au coeur.

Sa tenue en cours: Calme, mais il s'ennuie souvent, assimilant vite les informations qu'on lui enseigne.

Talent: Il a une intelligence surprenante et assimile les informations qu'on lui livre a une vitesse fulgurante.

Particularité: Interdit de sport et sans matière où il est nul.

Animal : aucun