Maléa Michell

Nom : Michell

Prénom : Maléa

Surnom : Apparement, Maléa-chou . Sinon, elle est surnommée Mel...


Date de Naissance : 14 Avril 1991

Age : 16 ans

Signe Astrologique : Bélier


Maison : Serpentard

Rang Social : Sang pur


Description Physique : Si un mot devait être choisit pour représenter le physique - avantageux, disons-le – de Maléa, le vote serait sans aucun doute unanime sur le mot changeant. Il est un fait, cette jeune fille ne fait pas vraiment son âge et possède un charme mystérieux qui a fait tourner plus d'une tête sans même attirer son attention. Mais concentrons-nous un peu plus sur les détails, et décrivons là dans les règles de l'art :

La première chose qui frappe chez elle sont ses cheveux. Brillants comme de la soie, doux comme du velours, impossible d'ignorer leur longueur qui ne s'arrête non pas au bas de son dos, ni même au bas de ses fesses, mais à ses genoux même. Déjà ceci lié à une mèche indéniablement rebelle retombant devant ses yeux ne peut qu'attirer le regard, d'autant plus qu'il est on ne peut plus rare de les voir attachés. Mais le principal réside dans leur teinte dure à définir qui n'en rajoute qu'à ses charmes, d'un blond clair mêlé de mèches d'un roux flamboyant qui se met à scintiller dès que la lumière vient à les frôler, les faisant paraître - sûrement à tord - parfaitement naturelles. A en rajouter, et bien que la coupe soit naturellement longue et lisse à souhait, on ne peut que remarquer qu'elle en est néamoins travaillées par un dégradé très léger mais qui fait souvent son effet à quiconque le remarque. Mais revenons à sa mèche, cette mèche qu'elle ne prend même plus la peine de lisser en arrière puisqu'elle semble d'elle-même s'y refuser, et à ce regard envoûtant qu'elle cache. Car ne croyez pas que les choses soient banales chez la jeune Anglaise, bien loin de là, puisque ses yeux ne sont rien moins que vairons. Et pas n'importe comment encore ! L'un se trouve être d'un ambre étincellant virant au doré sous l'effet des flammes sauvages ou du soleil caressant, révélant quelques pétillements d'un tendre brun chocolat, tandis que l'autre vient se réveler d'un vert pomme extrèmement tendre aux reflets bleus comme le ciel, tout deux possédant la forme bridée des pays de l'Est, héritage d'un lointain parent sûrement. Difficile de faire plus étrange, d'un regard qui met à la fois mal à l'aise mais qui sait également fasciner par cette lueur toujours joyeuse et malicieuse qui y brille, appronfondie de longs et magnifiques cils noirs naturellement recourbés, rendant ce regard à la fois secret et coquin, toujours prêt à accompagner son sourire dans ses excès de joie. Et quel sourire ! Parlons-en, de ce dernier : Des lèvres charnues et pulpeuses d'une profonde couleur framboise attirante, toujours rehaussées d'un gloss discret qui les fait presque autant briller que le reste du visage ovale de leur forme de coeur prête à attirer maints baisers vers elles, bien qu’ils serons reçu de façon peu délicate. Cependant, elle ne sourit presque jamais, sauf avec ironie, ou satire, révelant des dents parfaitement rangées et d'un blanc nacré soigné.

Mais quant à la suite, autant admettre tout de suite qu'un visage ne fait pas tout, lorsque le corps peut se révéler tout le contraire. Cependant, ne vous en faites aucun soucis, Maléa fait honneur à cette rumeur qui dit qu'à Poudlard, de nombreux garçons l'ont au moins regardée une fois, plus ou moins avertis que cela était dangereux.
Grande, bien plus grande que son âge le laisserait entendre - et pour cause, d'un mètre soixante dix en fait - elle se révèle tout aussi mince sans pour autant perdre de ces formes qui caractérisent si bien les corps de femmes. Car croyez-moi, derrière un comportement un peu enfantin, tout le reste chez elle est on ne peut plus adulte. Mais commençons par le début sans s'attarder à plus de supérficielles flatteries…

A commencer par des pieds délicats, souvents dans des bottes, passant par les Van’s ou des ballerines, nous pouvons remonter le long d'une cheville gracile et d'un mollet délicat, ce qui ne peut que déjà titiller timidement vos papilles par la soie de sa peau, pour continuer le long d'une cuisse fuselée et de hanches qui ne manquent pas de largeur sans en devenir grosses, avant d'arriver à une chute de rein qui a tout du vertige des chutes du niagara et à la cambrure d'un dos parfaitement droit. Et bien que cela seul pourrait déjà vous procurer bien des rêves, sachez que sa beauté ne s'arrête pas que là… En effet, vous pouvez également considérer son ventre plat et sa taille de guèpe. A la suite viennent des clavicules pas trop apparentes accompagnées d'épaules petites à la carrure frèle, des bras délicats et fragiles aux mains longues et fines, sans oublier un cou de cygne, et vous aurez enfin parcourut ce corps pour revenir à ce visage qu'on ne peut si vite oublier. Mais méfiez-vous des apparences, et ne croyez pas qu’elle ne s’amuse pas des divers regards, puisqu’elle joue de cela, et s’amuse bien à vous le faire remarquer…


Description Psychologique : [ Ca casse tout ] Maléa a un caractère peu évident à définir, mais tout le monde sait qu’il est préférable de la fuir. La chercher peut-être amusant, puisque pour elle, la vie est un jeu, et qu’elle se joue de vous avec un amusement curieux. Elle est très attachée à une routine peu sympathique, et toute nouvelle personne entrant dans son cercle se voit accueillie par des répliques diverses, destinée à créer une réaction que généralement, Maléa optient avec facilité. Rusée, je vous promet qu’elle saurât aisément trouver un moyen d’obtenir ce qu’elle veut, utilisant toutes les ressources qu’elle a à sa disposition. De plus, elle a horreur d’ignorer quelque chose, et peut se montrer particulièrement chiante et tenace pour avoir ce qu’elle désire, objet ou renseignement… Ayant une patience infaillibles pour de telles choses, il est certain qu’il est difficile d’échapper au programme qu’elle vous a élaboré…
Elle a tendance à rabaisser les gens, pour s’amuser, bien que Canelle et Dominique passent à travers tout cela. Cependant, elle évite de s’élever en face des professeurs, si elle en a la possibilité… Il ne faut pas croire qu’elle s’écrase, non, au contraire, si quelque chose ne lui convient pas, elle n’hésitera pas à le faire remarquer…
Disons qu’il est préférable de s’entendre avec elle…


Histoire : Il était une fois un rêve. Ann, l’avait t’on nommé. Plus tard, elle serait Lady Ann Neil, tous le savaient, et beaucoup plaçaient leurs espoirs en elle… Enfant blondinette aux yeux rieurs, toujours à se cacher derrière sa mère, très méfiante envers les inconnus. Ses parents faisaient tous deux partis du ministère de la magie, et possédaient depuis plusieurs générations une fortune importante. Ils voulaient que la race des sangs purs soit préservée à jamais, et élevaient leur fille dans cette optique là. Dès son plus jeune âge, ils la firent participer à des castings pour des publicités, qu’elle enchaînait rapidement. Elle grandit, et fut en âge de se débrouiller. Seule dans un manoir conséquent que ses parents lui avaient offert afin de lui faire rendre compte de sa solitude, elle avait prit la décision de se marier avec un sang pur, et de procréer.
Il était une fois un ange. James était son nom. Aucun titre de noblesse en vue, mais de l’argent à profusion, coulant entre ses doigts tels l’eau d’une cascade. Son père était médecin, et sa mère travaillait dans le milieu hôtelier. Peut-être moins riches que les Neil, ils avaient cependant de nombreux contacts, et savaient se faire connaître, apprécier ou craindre. Leurs affaires marchaient plus que correctement, disons. Depuis des générations, ils étaient sorciers, sans vraiment y faire attention… Ils se contentaient de marier leurs enfants en fonction des avantages qu’ils pouvaient en tirer… Et oui, on en est encore là. Il grandit, travaillât comme jamais personne n’osa le faire, devint meilleur élève de sa promotion, et, se fixant toujours un but sans cesse plus haut, finit par devenir médecin. Beaucoup pensèrent que c’était du gâchis, d’ailleurs… Puis, cette étape franchie, il décida qu’il était temps de tourner une page de sa vie.
Tous deux se rencontrèrent lors d’un bal quelconque, dans un endroit quelconque, alors que le sujet à leur table était sur la chirurgie utilisée par les humains. Tous deux se plurent, et sans plus hésiter, finirent l’un dans la couche de l’autres, chez la demoiselle. Sans vraiment réfléchir, sur un coup de tête, ils choisirent de se marier, avec l’accord plus ou moins heureux de leurs familles respectives. Deux ans après, elle tomba enceinte de jumeaux.

Maléa et Michael. Tels seraient leurs noms, désormais. Petit hic, lorsqu’Ann accoucha de sa fille, son jumeaux eu du mal à suivre. On alla le chercher. Mort. Ils étaient jumeaux transfuseurs transfusés, reliés par un petit vaisseau dérivatif indépendant des organes de leur mère, et sans le vouloir, Maléa avait aspiré l’énergie de Michael… La tristesse de la mère fut telle qu’elle reporta tout sur sa fille. Submergée par une vague incontrôlable, elle éclata en sanglot dans la salle d’opération. Dès lors, elle devint dépressive. Pourquoi ? Et bien l’un de ses trop nombreux rêves d’enfant venait de s’effondrer… C’est tellement… Stupide.

Enfant unique d’une famille à fric n’est pas vraiment ce qu’on pourrait souhaiter de mieux. À quatre ans, elle veut un cheval. À cinq ans, elle veut un professeur. À six ans, elle veux un souffre douleur. À sept ans, elle veut une bonne… Petite fille capricieuse, qui veux tout savoir, élève brillante aux résultats plus que convenable, enfant insupportable et désagréable, jeune fille assez belle, cynique… Elle a tout ce qu’elle veut. Elle fait tout ce qu’elle veut, mais, intelligente, elle sait ce qui bon, ou non, pour elle… Et non pour les autres. Rien n’existe d’autre que sa petite personne…

- Mum ?

Cependant, la seule chose qu’elle ne parvient pas à avoir…

- Mum… ?

…, qui la remet en question, elle et son autorité, elle et sa supériorité, elle et sa beauté…

- Mum… … … …, M…
- …TAIS TOI, FILLE DE MALHEUR !

… C’est l’amour d’une mère.


À onze ans, elle entre à Poudlard. Autant vous dire que ce fut un choc. Pour les autres, ou pour elle ? Excellente question… C’était la première fois où la jeune fille se mêlait à la société. Son père avait insisté : Tu dois prendre un percepteur. Un éclat de rire au visage plus tard, et elle était arrivée. Dans la grande salle, elle avait examiné les bannières. Très franchement, avoir un blaireau pour emblème, ce n’est pas vraiment son truc. Le lion, là, ça fait trop chevalier, trop super héros, cela ne lui plait pas. L’aigle peut être ? Ou le serpent, qui l’attirait tant… … Une fois le choixpeau sur sa tête, il l’annonça chez les Serpy. Sans douter une seule seconde, elle sut que là était sa place. Au long de l’année, les gens apprirent à la connaître, gamine riche, capricieuse et chiante, désagréable et difficile à côtoyer. Elle pouvait soudainement avoir neuf ans, et vous sortir des gamineries, ou bien en avoir quatorze, et se motnrer plutôt mature pour son âge. Puis, elle fit la connaissance de Canelle et de Dominique. Deux jeunes filles dans le même dortoir qu’elle, qui semblaient ne pas être si différentes, malgré les nombreuses différentes qui les séparaient. Elle les classa de suite dans la catégorie : Sœur de cœur, mais ne changea pas pour autant.

Lors de sa seconde année, elle s’enticha d’un jeune homme de dix sept ans, nommé Andrew. Personne ne sut vraiment pourquoi, peut être reconnaissait t’elle en lui un frère mort, peut être avait t’elle besoin d’une chose que jamais elle n’avait éprouvé, mais cela l’aidât à découvrir à quel point il était facile de se jouer des autres. En avouant son soi-disant amour à tout le monde, elle constatât rapidement que plusieurs garçons étaient jaloux, aussi en fut t’elle ravie. Une arme de plus à utiliser…

Après sa troisième année, lorsqu’elle revint pour les grandes vacances, son père lui annonça qu’ils divorçaient, et qu’elle viendrait vivre en France avec elle. Il était résolut : Elle irait à Beauxbatons. Autant vous dire qu’elle le prit très mal. Fuir ne servant à rien, elle arrêtât tout net de manger, une fois installée en France avec son père, et ne sortit plus de sa chambre. James devait céder, il le savait. Elle continuerait à aller à Poudlard…

Depuis cela, bien peu de choses ont changé, à vrai dire…



Famille :
James Michell ; 45 ans
Père ; Occupant la profession de médecin magique aux multiples fonctions.
Né dans un environnement aisé, ce sera le fils unique de ses parents, et le seul héritier. Il travaillera comme jamais personne ne l'eu fait, et décrochera un métier convenable, se forgeant sa réputation, devenant peu à peu encore plus aisée. Il a de nombreux contacts un peu partout dans le Royaume-Uni, et avec le ministère, lui permettant bien des choses... Il rencontra Lady Neil au cours d'un dîner important, puisqu'il pouvait se permettre de convier nombre de personnalités. Ils devinrent amoureux, et lièrent leur fortune dans l'espoir d'avoir un héritier pouvant augmenter encore le renom de leur famille.

Lady Ann Neil ; 39 ans
Mère ; Riche héritière, accessoirement mannequin.
Depuis toujours, la dénommée Ann était une jeune fille réservée et timide, mais d'une beauté époustouflante. Sa grâce et ses manières lui valurent bien des demandes que jamais elle n'accepta. Elle hérita de son père un orgueil caché, lui permettant de rendre sa personnalité très floue. Toujours très bien tenue, bonne élève, elle fut élevée dans le but d'en faire une femme bonne à tout, pour un mari riche. Aussi lorsqu'elle se rendit à ce dîner qu'organisait un ami de son cousin, elle tomba amoureuse de l'homme de sa vie. Celui ci survint à tous ses besoins, et fut d'une bonté agréable. Elle accoucha de jumeaux : Maléa et Michael, dont un seul survit.

Note : C’est sans compter ses sœurs de cœur…


Animal : Elle n'aurait pu supporter d'avoir un hiboux... À la place, elle a dressé un corbeau (Détient la Magie. Cette dernière est puissante car elle nous permet d'apprendre à connaître nos peurs intimes, afin de favoriser un changement de conscience. Il est le messager de notre inconscient, ou encore de l'Inconnu. No comment ), qui se nomme Kandrae. Il occupe les mêmes fonctions qu'un hiboux normal.