Anthéamaëlys Enâgonios

Nom : Enâgonios
Prénoms : Anthéamaëlys Mara
Surnom : Mara. Pour tout le monde.

Age : 15 ans (en aura 16 pendant l’été)
Date de Naissance : 25 juillet 1991 (Lion, Chèvre)
Lieu de Naissance : Domaine Enâgonios, Samothrace (Grèce)

Origine/Nationalité : Grecque

Maison : Gryffondor
Rang Social : Sang mêlée

Famille : Bien que n’étant plus Sang Pur depuis des siècles, les Enâgonios sont l’une des plus vieilles lignées occidentales de sorciers. Riches grâce au commerce florissant d’objets magiques de tout acabit, ils ont une grande tradition d’orateurs et de politiciens qui remonte à la période classique de la Grèce antique. Et comme son grand père avant lui, Nicolas Enâgonios s’est engagé dans la politique, travaillant maintenant dans les relations greco-britanniques depuis Londres.

Les de Kyrene ne sont pas une grande famille emplie de prestige pour ses actions militaires ou considérée avec crainte pour de sombres secrets comme la plupart des familles nobles. En effet, bien que pure, cette lignée n’est pas noble et ne l'a jamais été. Mais elle est malgré tout célèbre pour les comédiens qu’elle forme dans son école et les pièces qu’elle fait jouer dans son théâtre de la jumelle magique d’Athènes. Suivant la tradition familiale, Sophia Enâgonios (née de Kyrene) est aujourd’hui un auteur de pièces engagées qui ont beaucoup de succès à Londres.

Description Physique : Une chevelure blonde tombe le long de son dos, chatouillant parfois ses hanches étroites lorsqu’elle ne prend pas la peine de les attacher. La peau est délicatement bronzée par le Soleil méditerranéen. La bouche aux lèvres fines, et non pas pulpeuses à outrance, esquisse un sourire. Le nez, quant à lui, est petit, légèrement retroussé. Mais loin de s’arrêter sur ces détails, somme toute, assez insignifiants, l’observateur remarquera surtout les deux yeux de chat. Un regard éclaté d’or qui pétille et s’embrasse.

Le corps n’a rien à envier au visage. Souple, longiligne bien que pas très grande, la sorcière ne possède pas de plantureuses formes. Au contraire, Mara n'est pas franchement imposante physiquement. Sa silhouette semble avoir la consistance d’un flocon de neige que nul ne peut saisir et ses courbes ont plus tendance à ne pas exister qu’à s’affirmer. Mais loin de se complexer pour si peu, la jeune fille, au contraire, s’habille dès qu’elle en a l’opportunité avec des tenues qui mettent en valeur son corps fluet, n’hésitant pas à ressortir vieilleries et accessoires de son placard.

Histoire : Cette histoire commence comme beaucoup d'autres par un mariage et contrairement à tant de fois dans les grandes familles, il s'agissait d'un mariage d'amour et non pas de convenance. Mais après tout, les de Kyrene n'étaient pas nobles et les Enâgonios ne l'étaient plus depuis plusieurs siècles déjà.

Ce mariage unissait Nicolas Enâgonios et Sophia de Kyrene. Jamais on ne comprit véritablement comment les deux adolescents, étudiant tous les deux à Athènes, en vinrent à se supporter car lorsque Nicolas avait la tranquillité docte des politiciens, Sophia avait hérité de l’utopisme forcené des comédiens. Mais pourtant nul ne pouvait nier qu'ils s'aimaient de cet amour passionnel qu'on rencontre si souvent chez les jeunes gens. Et comme tous l'avaient prédit : ils se marièrent peu après la fin de leurs études, ils avaient 24 ans tous les deux.

Après le voyage de noces, ils s'installèrent à Athènes où Sophia enseigna dans l’école de théâtre de sa famille et où Nicolas fit ce que tous dans sa famille attendait de lui en devenant orateur. Et c'est ainsi que le jeune ménage s'installa dans la capitale grecque.

Deux années s’écoulèrent qu’un événement vient bouleverser leur routine. Un événement qu’on nomma Anthéamaëlys Mara Enâgonios. La première de la nouvelle génération Enâgonios avait décidé de sortir tandis que la famille paternelle prenait un déjeuner. Prémisses d’une grande gourmandise ? Mara aime se le dire. La suite, vous l’imaginez aisément. L’accouchement se passa à merveille : la jeune mère était en excellente santé et la pouponne, malgré ses deux mois d’avance, également. Ainsi toute la joyeuse famille rentra à Athènes sans se douter des problèmes qui allaient lui tomber dessus : les nuits à faire chauffer le biberon et les pleurs incessants d’une petite fille qui savait déjà se faire entendre.

Nous vous épargnerons les premières années de Mara qui n’ont probablement d’intérêt que pour ses parents et furent principalement rythmées par les « premières fois » de la fillette. Sachez seulement qu’elle ne souffrit jamais d’aucun besoin, d’aucune sévisse, d’aucune tragique et brutale perte (si ce n’est celle de son appendice) et que malgré l’absence régulière de ses parents, elle avait une pléthore de cousins et de cousines pour s’occuper.

Elle avançait vers ses neuf ans lorsqu’on apprit que Nicolas avait obtenu un poste de diplomate. Toute la famille fêta l’événement, Sophia abandonna l’enseignement du théâtre et ils débarquèrent tous à Londres où la mère de Mara en profita pour se mettre à l’écriture de pièces engagées qui obtinrent rapidement d’excellentes critiques. Laissée seule avec son anglais pitoyable (tout au plus lui avait-on appris à dire oui, non, bonjour, merci et s’il vous plaît), Mara fut confiée à une sorcière qui s’occupait d’enfants de son âge et se chargeait de leur dispenser des cours élémentaires comme le calcul, la grammaire et ce genre de choses.

La barrière linguistique se faisant sentir plus que jamais, la fillette eut d’abord du mal à se faire des amis parmi ses camarades. Qu’à cela ne tienne ! Mettant à profit les années passées dans l’école de théâtre à épier les élèves, elle se mit à mimer pour se faire comprendre des autres le temps de combler ses lacunes. Un an plus tard, elle parvenait à s’exprimer dans presque tous les cas, remplaçant encore parfois des mots, des expressions par de grands gestes et des mimiques caricaturales.

L’été de ses onze ans, elle reçut le hibou tant attendu de Poudlard qui l’invitait à prendre des cours de magie. Pour l’occasion, ses parents prirent même la peine de octroyer quelques heures à leur fille (ce qui n’était plus arrivé depuis longtemps) pour aller acheter ses fournitures.

Se formant rapidement un cercle d’amis et de connaissance parmi toutes les maisons de l’école, la fillette se fit rapidement remarquer avec ses tenues extravagantes, son caractère explosif (mais malgré tout, plutôt plaisant et facile à vivre) et sa témérité qui frôlait souvent l’inconscience. Elève dissipée, elle se trouva être excellente dans la pratique et plutôt médiocre dans la théorie (elle n’a d’ailleurs jamais réussi à obtenir une seule note au dessus de la moyenne en Histoire de la Magie par exemple) : ce qui équilibrait plutôt bien les choses.

Description Psychologique : …

Animal : Une chouette effraie, Péliades. Offerte à son entrée à Poudlard par sa grand-mère maternelle.

(J'espère que ça convient. ^-^)

Mercii ^^