::Riddikulus Hogwarts::
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
::Riddikulus Hogwarts::


 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

 

 # _L U C E. | END |

Aller en bas 
AuteurMessage
Luce Cla
Invité




#  _L U C E.  | END | Empty
MessageSujet: # _L U C E. | END |   #  _L U C E.  | END | EmptyVen 1 Juin - 0:14

« Les apparences sont parfois trompeuses.
Oui, je suis une femme, et je n'ai pas un coeur en pierre. Je ne suis pas de la maison des Serpents, contrairement à ce que l'on pourrait croire.
Mon physique ne m'avantage pas, je sais. »



I D E N T I T E .
    Nom : Clayton.
    Prénoms : Luce, Blue.
    Date de Naissance | Age : 31 Janvier 1991, 16 ans.
    Sexe : Féminin (si, si).
    Année : Sixième.


P H Y S I Q U E .
    Luce a un physique contraire à sa nature. Elle ressemble étrangement à un homme, elle a une carrure fine, peut être, mais n'a pas de formes. Ses hanches sont à peines visibles, ses fesses, ainsi que ses seins : elle ressemble vraiment au sexe opposé. De plus, l'adolescente est de grande taille par rapport aux autres filles de son âge, elle est aux alentours des 1m80 pour seulement 65 kg (ne vous inquiétez pas, elle mange à sa faim). Son corps doit être son plus gros complexe, à cause de celui-ci Luce n'a jamais eut de petit amis, à son grand malheur. Son regard est d'une couleur bleu d'eau, et exprime généralement de la froideur, malgré elle. Ceci n'est pas volontaire, car au fond d'elle, c'est une fille agréable et généreuse. Sa peau très pâle lui donne des allures de vampires, presque de cadavre. Elle fait presque fuir la maison qui la garde, tout le monde pourrait croire qu'elle est une Serpentard refoulée, mais ce n'est pas vrai. Ils se basent seulement sur son physique qui n'est pas son plus fort atout. La sorcière a des lèvres très fines, et d'une couleur à peine dissociable de sa peau, elle ne se maquille pas, donc ne peut faire ressortir son visage qui pourrait être magnifique. Depuis toute petite, elle a toujours eut des allures viriles et n'a jamais su comment faire pour ressembler à une fille : elle ne s'accepte pas vraiment. Ses cheveux sont d'un blond éblouissant, très clair, ils se rapprocheraient plus du blanc, et cela lui donne un air plus âgé, elle passe facilement pour une élève de septième année. Ceux-ci sont lisses et très fins, mais ce doit être la seule chose qu'elle aime chez elle, et c'est pour ça qu'elle les garde très long : pour se garder un minimum de féminité. Mais cela ne change rien, elle a toujours cette forme de visage ovale synonyme aux garçons. Il n'est pas rare qu'on l'accoste en tant que tel, même si généralement, elle fait peur à première vue. Ses bras sont très fins ainsi que ses jambes, elle a la peau sur les os, et c'est à partir de là que les autres la prenne pour un cadavre. Elle frôle l'anorexie, enfin non, on pourrait dire qu'elle l'est vraiment. Elle n'a jamais su apprécier la nourriture, jamais. Vous lui parlez de sucres, elle aura des nausées. Sublime, n'est ce pas ? Pour couronner le tout, elle ne s'habille jamais en jupe, juste en pantalons serrés, et qui font très masculins, en même temps : elle ne trouve jamais d'habits à sa taille chez les femmes, et n'a pas forcément les moyens de se faire faire une tenue sur mesure, malheureusement. Luce montre une pudeur vis-à-vis de son corps exceptionnelle, jusqu'à ne pas oser porter de manche courte : elle a trop honte d'elle même. Pourtant, elle n'est pas si moche : juste masculine. Alors l'été, elle porte l'uniforme d'hivers, mais ne ressent plus vraiment la chaleur, elle s'y était faite depuis longtemps, très. Dans sa famille, c'est pourtant la seule qui ait hérité de cette carrure, ses deux soeurs, Emily et Julie sont toutes les deux aussi ravissantes que des poupées. Luce les maudissaient presque, mais les aimait trop pour ça. L'adolescente porte une cicatrise au niveau de la cuisse, juste en dessous, et ce n'est pas très voyant, de toute façon, elle seule peut voir cet endroit. Elle ne permettrait pas qu'on voit au delà de ses pieds, mains, et visages. Même si ses habits ne sont pas très féminins, Clayton ne s'empêche pas de porter certains bijoux, comme des boucles d'oreilles ou encore des bracelets. D'ailleurs, elle a plusieurs piercings sur son oreille droite. Une erreur de jeunesse ? Non, elle aime beaucoup : pour une fois.


C A R A C T E R E .
    Malgré ses apparences froide et associable, Luce est une personne très agréable, elle sait se montrer gentille lorsqu'on prend la peine de lui adresser la parole, ce qui en étonne plus d'un. Majoritairement du temps, elle donne un air intimidant, qui empêche les autres de l'approcher par crainte de se faire « jeter » ou pire, ignoré. Pourtant, elle n'est pas comme ça, elle ne l'a jamais été. Elle est très Loyale en tant que amie, même si elle n'a jamais put le montrer à quiconque à Poudlard vu qu'elle a toujours eut une scolarité de solitaire. Elle aime rêver, se faire toute sorte de films à travers ses pensées ou bien lors de ses nuits de sommeils agitée. Généralement, elle s'imagine avec un corps plus adaptable, enfin, féminin, et parle, parle, avec tout le monde, tous les gens qu'elle a put apercevoir dans la journée. Elle est reniée au plus haut point, « C'est une Serpentard ! Le Choixpeau a fait une erreur ! », voilà ce que tous les Gryffondors disent sur elle, et c'est ce qui la fait se renfermer encore plus sur elle même. Elle n'ose plus s'approcher des autres. La seule fois qu'elle l'eut fait, en première année, elle fit pleurer une fille de son dortoir. Cette dernière pensait à du racket ou un harcèlement. Résultat ? Personne ne vint lui parler, même pas pour lui faire des reproches. Ils parlent dans son dos, mais elle entend tout, et se renferme. Malgré cela, elle est issu d'un courage unique, il n'est pas comme les autres, mais elle peut faire face à n'importe qu'elle situation si elle le souhaite vraiment. Elle sait faire face aux autres quand cela devient nécessaire, elle peut prendre des risques, même sur sa vie, ca ne la dérange pas. Luce continue à avancer, elle a réussie à s'habituer à sa vie et a cesser de se plaindre, d'ailleurs, elle n'aime pas ça. Avant, elle se l'infligeait à elle même, mais comme cela ne menait à rien à part à de l'auto-dérision, elle cessa donc toute cette mascarade. Un de ses plus gros défauts est sans aucuns doute la naïveté. Bien sur, personne ne lui raconte jamais rien, mais elle peut prendre un Journal Clandestin (par exemple le Chicaneur) et y croire mot pour mot. Ce n'est pas qu'elle a une réflexion faible, mais depuis qu'elle a apprit ses dons de magie : plus rien ne l'étonne. Donc elle y croit, elle y croit vraiment. Et puis, elle aime lire avant tout, ce n'est pas un rat de bibliothèque, et pour les études, elle fait toujours le strict minimum. Non, en fait, c'est les livres moldus qui la passionne, elle s'y retrouve vraiment, dans ces personnages. Elle pleure même pour eux, des fois. Oui, Luce est aussi quelqu'un de très émotive, bien que cela ne se remarque pas. En fait, elle bouillonne intérieurement, mais l'extérieur ne suit pas. C'est comme si sa personnalité n'était pas adaptée à son corps : en gros, oui, c'était ça. Si seulement elle avait eut l'air d'une fille agréable, gentille, aimante, etc, elle n'aurait pas eut tous ces problèmes. Elle était le contraire de ces filles sublimes qui étaient hypocrites par dessus tout, et dont personne ne se rendaient compte de leur vrai personnalité. Même après des efforts vains, Luce n'arrive toujours pas à acquiescer ne serait ce qu'un seul sourire, elle reste neutre dans ses expressions, et pourrait paraître « sans vie ». Beaucoup la prenne pour quelqu'un de suicidaire, venant d'une famille riche, qui regarde les autres de haut, etc, mais qui la connaît vraiment ? Personne. Même pas ses parents. D'ailleurs, ce sont eux qui ont fait ce qu'elle était à présent. Mais elle ne leur en voulait pas, pas le moins du monde. L'adolescente aimait sentir son coeur battre, elle aimait positionner son doigt sur son cou pour sentir les pulsations retentir dans ses artères. Ca pourrait paraître absurde, mais elle se savait vivante, au moins. Elle aime la vie. Luce pourrait passer des heures dans les jardins de Poudlard, à se prélasser dans l'herbe, à sentir le soleil ébouillanter sa peau (même si elle devait forcer sur les potions anti insolations). Elle est assez simple d'esprit, et se contente des rares choses de la vie. Par contre, il y a ce défaut pas très esthétique qui la détruit physiquement. Non pas qu'elle se « suicide » à petit feu, mais... elle fume. Oui, enfin, elle a commencé assez jeune, sans vraiment en être consciente et est maintenant accroc à ce « truc ». Elle apprécie la cigarette du matin, celle d'après mangé, celle avant de dormir, et celles qui se trouvent entre ces pauses. Et elle se hait presque de cette manie qui lui donne une image encore plus de... délinquante ? De personne froide ? Elle n'aime pas ça. Par contre, elle se plonge dans le monde du Rock et du Punk avec aisance, elle aime beaucoup la musique, et le fait de ne pas pouvoir apporter d'objet électronique à Poudlard la perturbe... Bien sur, il y a toujours ces objets magiques, mais bon : ce n'est pas la même chose. Ca ne vient pas de « son » monde, malheureusement. Luce a aussi quelques tics, comme celui de se passer la main dans ses cheveux ou encore sur sa lèvre inférieure.


Dernière édition par le Sam 2 Juin - 18:40, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
Luce Cla
Invité




#  _L U C E.  | END | Empty
MessageSujet: Re: # _L U C E. | END |   #  _L U C E.  | END | EmptyVen 1 Juin - 1:52

H I S T O I R E .

ENFANCE.


« Félicitation, vous avez une fille ! »

Un lourd silence régna durant quelques secondes dans la salle d'hôpital présente en centre ville de Londres. Eileen, la mère avait des yeux ronds, étonnée, surprise, mais avait en elle un sentiment de joie indescriptible, contrairement à John, le père qui semblait frustré, incompris et presque en colère. Les infirmières ne firent rien de plus, puis après quelques minutes, le père s'écria :

John – Quoi ? Non, c'est impossible. On devait avoir un FILS !

Il était le genre de personne qui voulait à tout pris assuré la succession de sa boite par une personne de sexe masculin. Son entreprise n'était pas connue, très petite et pas vraiment influente, mais elle vivait depuis déjà vingts ans et c'était son rêve d'élever son garçon pour qu'il prenne la suite de tout ce qu'il avait entrepris. Par peur, et surtout pour ne pas gâcher les mois de grossesses en cas que c'eût été une fille, ils n'avaient pas demandé de vérifié le sexe de l'enfant. Et là, il n'avait pas la bonne surprise. Il était déçu, mais allait tout de même assumer son rôle de père tout en espérant que le prochain serait un homme, bien évidemment. Ils la baptisèrent Luce, car c'est ce qui était prévus depuis toujours, c'est à la base un nom masculin mais qui peut aussi s'accorder aux filles. Dès que John se calma, les infirmières positionna le nouveau né dans les bras de sa mère. On pouvait déjà lire dans ses yeux un regard bleu d'eau glacial, et tout le monde eut des frissons dans le dos : comme si c'était l'apocalypse.

Luce n'eut pas une enfance qu'on peut dire « normale » pour une fille. Son père s'obstinait à lui parler comme à un garçon, et l'habillait comme tel, il l'amenait aussi à des séances de Football ainsi que des matchs de sports divers. La mère qui rêvait de saupoudrer sa fille de maquillage, de l'amener faire des boutiques en toute coquetterie dut se restreindre, ce n'était plus envisageable. John irait à l'encontre de Dieu et ferait de sa fille un homme. Les deux parents essayèrent tout de même d'avoir d'autres enfants, mais ce fut sans succès. Luce sera-t-elle fille unique ? Ce serait désespérant pour elle qui devrait vivre dans la peau d'un homme. Quoi que, jeune, elle trouvait cela amusant. Les années passèrent, la petite fille vivait dans un monde de Moldus sans même savoir que la Magie était en elle. Elle n'avait pas le droit de lire tous ces contes féerique, son père disait que cela ne lui était pas approprié, elle n'était pas une femme. Et c'est sans doute cette raison qui la fit le plus souffrir dans son enfance. Les autres filles la méprisait, car elle ressemblait aux garçons, et ces derniers faisaient de même parce qu'elle était une fille. Elle n'arrivait plus à s'investir nulle part, elle était châtiée, délaissée. Et même si ça pourrait paraître étrange, elle aimait sa maison, car c'était le seul endroit où on lui parlait. Même les professeurs l'ignorait du à son regard oppressant, froid, et cruel. Il faut dire que Clayton faisait très peur, en un sens. Plus elle grandissait, plus ses épaules devenaient carrée, ses hanches ne se démarquaient pas ainsi que sa poitrine (encore, elle était jeune, donc normal). Mais cela lui donnait une carrure encore plus virile et masculine. Quand elle allait dans des magasins, pour s'acheter divers objets, on lui disait toujours « Bonjour mon garçon », et elle se rendit vite à l'évidence même : elle en était un, juste refoulé.

Un jour, elle s'approcha des garçons dans la cours de récréation, elle voulait juste une fois s'amuser avec les autres, et vraiment. Ce que faisait les filles l'ennuyait, elle préférait beaucoup plus courir autour d'un ballon que de faire de la corde à sauter. Elle avait été habituée aux sports de ce genre, donc elle se moquait du fait de paraître ridicule : elle n'y pensait même pas. Elle s'approcha donc du plus grand (même si elle le dépassait de quelques centimètre) qui était le chef, et pris la parole.

Luce – Je peux venir avec vous ?

Le garçon lui fit des yeux rond durant quelques minutes, un lourd silence régna alors que Luce restait droite, froide, un regard perçant, et franchement sure d'elle. Enfin, ça, c'était ce que donnait son physique, alors que intérieurement c'était un stress complet. Elle avait peur de se faire rejeter, encore une fois. Elle se passait la main dans les cheveux fébrilement, avec finesse, et attendait comme un jugement dernier. Puis tout d'un coup... Rires. Les jeunes garçons se mirent tous à éclater d'un fou rire indescriptible, ils ne pouvaient cesser cette humiliation oppressante. Et Luce était frustrée, vexée, mais son corps ne l'affichait pas, elle se tourna, fit quelque pas en arrière, et ferma ses poignets. Elle avait comme envie de leur faire payer. Au fond d'elle elle bouillonnait, c'était la première fois qu'elle avait des idées de vengeance, vraiment. Puis elle se retourna vers eux, elle les fixa de son regard bleu d'eau glacial durant quelques minutes. Puis ils cessèrent de rire. Elle se remit en marche, avec assurance, bien que là, c'était fait exprès. Et ils commençaient à reculer de peur.

« Non mais... On rigolait, tu peux venir hein » disait-il avec crainte.

Mais Luce ne prononça aucun sons. Elle se contenter de sourire avec une expression sadique, bien que là, c'était justifié. Elle pensait seulement à une petite bataille de pacotille, mais en fait, non, ca allait bien au delà. Ils firent tous une sorte de bon dans les cieux, puis se retrouvèrent la tête à l'envers et étaient attaché à un tuyau présent sur le mur. Ils criaient tous, pleuraient tous, en disant : « Maman, maman, papa, papa ! ». Et Luce tourna les talons pour partir. Elle se cacha dans un coin, et savourait sa honte. Elle avait honte, très. De plus : elle ne comprenait pas. Elle avait fait un acte anormal, surhumains, elle le savait. Personne ne l'avait jamais fais dans son entourage, de faire voler les autres sans même les toucher, les retourner dans les airs, etc. Elle n'était pas éblouie, mais craintive, elle n'avait que dix ans et avait déjà un problème existentiel. Bien sur, elle n'en parla pas à ses parents, ce serait son secret. Personne ne croyait la bande de gamin qu'elle avait « martyrisé » indirectement, ce n'était que des gosses, on les prenait pour des menteurs. Tant mieux pour elle. En secret, elle continuait à exercer ses pouvoirs, elle essayait d'y trouver quelque chose d'utile, pour aider quelqu'un, par exemple. Elle voulait être le nouveau « Superman » (oui, toujours au masculin), et sans muscle, juste avec un don assez colossal pour aider, seulement aider, et dans l'ombre. Elle ne voulait pas être enfermée dans un laboratoire vingt quatre heures sur vingt quatre.

Puis vint ce jour dit « Fatidique ». Son école était entourée de flammes, les salles de classe flambaient sous la chaleur interminable. Beaucoup avaient réussie à en échapper, enfin tous, sauf un, le chef de la bande de garçon. Luce voulait faire quelque chose, elle regarda autour d'elle, et il n'y avait déjà plus personnes, ils étaient tous partit rejoindre leurs parents. Elle se hâta donc de rentrer dans le bâtiment et de chercher sa « victime ». Elle le trouva inconscient auprès des flammes. Puis elle se concentra et fit apparaître plusieurs litres d'eau qui le recouvrèrent. Elle le prit, sans trop de difficultés vu qu'elle était plus grande, et le ramena dehors. Clayton le déposa sur le sol, puis prit la fuite, rejoignant sa mère en larme et son père satisfait qui savait que sa fille (que dis-je, son FILS) ne pouvait mourir ainsi. Trop sur de lui, c'est clair. Personne ne su réellement comme le petit garçon avait été sauvé, ça sortait du « miracle » d'après tout le monde. Luce était la seule au courant.

Quelques jours après, Eileen se retrouva de nouveau enceinte, il s'avéra que c'était deux jumelles. Le père s'en contrefichait, pour une fois, il avait son successeur : Luce, qu'il avait su élevé comme un homme, un vrai. Puis, un jour, alors que Luce lisait un conte en cachette, sous son lit, elle entendit comme un battement d'ailes, et vit une lettre se diriger vers elle pour fouetter son visage. Elle cligna des yeux, puis l'ouvrit. « Poudlard, école de Magie ». Le titre inspirait beaucoup. Durant toute sa lecture, Luce fut sérieusement étonnée, même si cela ne se voyait pas trop sur son visage. Elle était aussi très heureuse. Car elle le savait, qu'elle avait un don, cela ne sortait donc pas de son imagination, c'était évident. Tant mieux. Cette nuit là, elle s'endormit la lettre dans les bras. Demain serrait un jour meilleur ? Peut être pas.

Luce – Papa. Maman. J'ai quelque chose à vous montrer...

Elle leur tendit la lettre. Un lourd silence régna.

John – Je le savais. Eileen, tu lui en as fais lire hein ? De ces histoires à deux balles pour fillettes ? Avoue !
Eileen – Non, non, pas du tout, je te le jure.

Luce – Vous n'y croyez pas ?
John – Il ne manquerait plus que ça !

Elle les regardait toujours de son regard froid, sévère, insensible, mais pour une fois c'était sincère. Luce soupira, puis se tourna vers la table où était disposée les assiettes et les verres. Elle se concentra sur ceux-ci, leva le doigt et au même moment les couverts, les verres, et les assiettes lévitaient à quelques centimètres de la tables. Eileen et John se levèrent d'un coup pour se diriger plus prés du spectacle.

Eileen – Tu vois ce que je vois ?
John – Oui. Eileen, repasse moi ça !


Il la relut en silence, puis se tourna vers sa fille.

John – Et l'entreprise, t'en fais quoi ? Non, tu n'y vas pas. Tu prendras ma relève, point. Et enlève toi ça de la tête.
Eileen – John !
John – Quoi ?
Eileen – J'en ai marre ! Plus que marre ! Arrêtes ! Luce est une fille, un être humain ! Pas un objet, un substitut qui t'appartient ! Laisse-là vivre.
Elle se tourna vers sa fille. Tu iras, je t'amène au chemin de travers ou je sais pas quoi demain.

Gros silence. Le père ne sut que répondre, et comme promit, le lendemain elle alla au « Chemin de Traverse (et non de travers). Poudlard, était proche !


Dernière édition par le Sam 2 Juin - 2:36, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Luce Cla
Invité




#  _L U C E.  | END | Empty
MessageSujet: Re: # _L U C E. | END |   #  _L U C E.  | END | EmptySam 2 Juin - 2:36

SCOLARITE A POUDLARD.


Luce pensait que Poudlard ce serait... mieux. Qu'elle pourrait enfin être plus sociable, plus s'entendre avec les autres, qu'on l'accepterait pour ce qu'elle était. Elle pensait atterrir dans son éléments, que tout le monde était comme elle. Mais non, c'était pareil, ils la dévisageaient tous avec insistance. Le chauffeur du train lui dit même « Monte vite mon garçon, nous allons partir », mais elle ne répondit rien, elle n'en avait plus la force. Elle qui était si heureuse au départ. Elle se retrouva meurtri durant tous le voyage. Elle ne prononça aucun parole, elle avait juste son MP3 aux oreilles, et profitait du peu de temps qu'elle avait pour écouter ses musiques favorites. Car à Poudlard... pas d'objets magique ! Mince. C'était une des rares choses qui l'aidait à assumer sa solitude. Tant pis.

Arrivée devant le château, elle fut tout de suite éblouie par les merveilles qu'il lui montrait, il était immenses, sublime, et semblait inaccessible. C'était comme une grande demeure de personnes hauts classés. Non, c'était sa nouvelle maison, son nouveau chez soi, elle vivrait là-bas sept ans. Mais Luce n'arrivait pas à se faire à cette idée. Elle s'était pas mal informée sur son séjour à Poudlard, ce qu'elle étudierait, comme ca se passait, etc. Elle ne fut donc pas étonnée de voir un chapeau positionné sur un tabouret répartissant les élèves dans quatre maison différentes. Tous le monde pensait qu'elle irait à Serpentard, d'ailleurs, tous les élèves ornés de vert et d'argent la regardait sans cesse, pensant sûrement que c'était un homme. Puis ce fut son tour... Elle monta, avec stress. Elle pensait atterrir à Serpentard, vu que tout le monde la voyait là-bas. Puis de toute façon, le « Choixpeau » ferait comme les autres, il se baserait sur son physique, non ? Mais ce ne fut pas du tout le cas.

« Hum. Tu es une personne très paradoxale... Mais tu as le talents et le courage requit d'une GRYFFONDOR ! »


Elle en fut toute étonnée, autant que les autres sans doute. Aucuns applaudissements ne se fit retentir dans les première minutes. Luce ressentait encore une fois ce sentiment de frustration, mais beaucoup moins intense : elle y était déjà habituée. Elle se releva donc, en silence, très droite, et vint s'asseoir à sa table. Durant son trajet, les applaudissements apparurent enfin ! Et là, elle en fut radieuse. Mais assise à coté de ses camarades, il n'y en avait plus, et tout le monde continuait à la dévisager, malheureusement. Elle n'en pouvait plus : ca recommençait.

Au final, elle passa toute les années de sa scolarité seule, elle grandit beaucoup, dépassant maintenant presque tout le monde, beaucoup des garçons de son age. Sa poitrine était à peine dissociable de son corps, ses jambes aussi fines que des allumettes : une asperge sur patte. Elle avait un charme, mais en tant que homme. Beaucoup de Serpentards vinrent lui parler, mais elle n'arrivait jamais à s'entendre avec eux, ils avaient un physique parfois semblable, mais le reste ne suivait pas. Luce resta donc dans son coin, dans sa solitude, dans sa musique, avec ses cigarettes à regarder les étoiles en boucles, en boucles, sans fin. Elle était lasse. Elle n'en pouvait plus. Elle... en avait marre. C'était si compliqué ? Que de lui dire un simple mot en toute franchise et avec amitié ? Sans doute. Elle entrait en ce moment en sixième année. Ses deux soeurs avaient six ans, et étaient ravissante, comparé à elle qui était un vrai garçon manqué. Son père s'était résigné à la faire devenir un homme, de toute façon, Eileen était une nouvelle fois enceinte, et d'un garçon : il avait de quoi être fier, le papa.

Et la vie continue. (ne me parlez plus, de cette histoire! *sors*)

    Origine / Nationalité / Ascendance : Anglaises, Sang de Bourbe.

    Famille : John Clayton, père de famille, il est obsceder par son emplois. Il dirige une petite entreprise modeste, et veut à tout pris un successeur. Il a transformer Luce en garçon, mais suite à une intervention de sa femme lors des 10 ans de Luce, il a cessé son manège.
    Eileen Clayton, mère de famille. Elle est sans emplois, elle s'occupe de sa famille, c'est une femme douce et affectueuse qui aime énormément sa fille. Elle se prive de beaucoup pour les autres.
    Emily et Julie Clayton, les jumelles de la famille, elles ont 6 ans, et sont resplandissantes de beauté (contrairement à leur soeur ainée).
    William Clayton, le futur nouveau né, et sans doute le successeur tant attendus du père !


(VOILA ! Enfin fini xD. J'ai bâclé un peu la fin je suis désolée >.< , mais si ce n'est pas suffisant je veux bien réediter. Mais j'avais trop envie de RP avec ce perso' et comme j'avais une flemme attitude de faire une bonne fiche, bah euh *part se cacher* ... ça passe ? xD)
Revenir en haut Aller en bas
Leslie Summers
¤ Directrice de Poudlard ¤

 ¤ Directrice de Poudlard ¤
Leslie Summers


Féminin
Nombre de messages : 49
Age : 46
Maison : Toutes
Pur // moldu // mêlé : Pure
Date d'inscription : 30/05/2007

°Infos Pratiques°
Rang:
Humeur:
Relations:

#  _L U C E.  | END | Empty
MessageSujet: Re: # _L U C E. | END |   #  _L U C E.  | END | EmptySam 2 Juin - 22:42

Bienvenue ^^
C'est super, je te valide (" )
GRYFFONDOR, 6eme!
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





#  _L U C E.  | END | Empty
MessageSujet: Re: # _L U C E. | END |   #  _L U C E.  | END | Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
# _L U C E. | END |
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
::Riddikulus Hogwarts:: ::  :: ~ Archive ~ :: Anciennes Présentations-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser