Un souvenir...

Hayden n'avait pas trop de choses à faire pendant les vacances. Il était allé aux trois balais pour ensuite se rendre au bateau. En faît, il s'ennuyait beaucoup pendant les vacances. En effet, sa famille, étant parti déjà quelque part dont Hayden ignore l'endroit où ils pourraient être. De toute manière, le bateau était assez grand et somptueux pour être visité. C'était, de toute façon, ce qu'il allait faire. Il avait déposé ses affaires dans une des cabines réservé aux professeurs. Il s'est dit qu'il aurait un peu de temps pour se ballader entre les étages. C'était de toute façon, son but. Peut être qu'il tombera sur un collègue.

Hayden était déjà parti avec son père. Ils avaient voyagé pendant un an, quand il était petit. C'est vrai que c'était, pour Hayden vraiment sensationnel et il était heureux d'être à côté de son père. Pour voyager au loin et peut être pour rencontrer du monde. C'était, de toute façon, le but de son père. Il se souvint, un jour, d'une tempête. Il avait peur de ne pas réussir à en échapper. Il aurait pû, très bien mourir. Ce qui était fort probable. Mais c'était à ce moment là qu'il avait dit à son père combien il l'aimait.

Hayden, marchant tranquillement, se souvint de ce souvenir. Des petites larmes commençèrent à apparaître. Il avait les yeux rouges à cause des larmes. Quelques gouttes coulèrent le long de son visage. C'était à chaque fois la même chose quand il avait un souvenir de son père en tête. Pourquoi fallait-il qu'il soit mort ? Pourquoi n'a t-il pas guéri ? C'est presque à chaque fois la même chose.

Il voulut se changer les idées et se dirigea vers une pièce où était principalement joué du théâtre. Oui, Hayden était un petit comédien. Il se souvenait d'une fois où il avait fait une petite pièce à l'école. Il avait reçu que des apllaudissement grandiose. Au moment, où il entra, il observa la pièce qui était complètement vide. Une salle un peu obscur. Il y avait, au loin, une estrade. Il pense que c'est là où monte les acteur. Il s'avançait légèrement, sa cape était toujours avec et sur lui. Il ne l'abandonnait jamais.

Il observa la pièce assez grande. Il était cloué au sol pour tout regarder. C'était vraiment étrange, comme si on avait l'impression qu'il connaissait par coeur cette pièce. En fait, c'est juste les souvenirs qui commençaient à se bousculer dans sa tête. Il soupira et s'approcha de l'estrade, sans trop faire attention à une personne qui l'observait au lon.

Hayden était triste. Il ne savait pas quoi faire. Il y avait trop de souvenir. Peut être qu'une pensine aurait été très utile à ce moment là. Il toucha le sol. On avait l'impression qu'il découvrait, en quelque sorte, les lieux Il dit à haute voix :.[i]

"Comme j'aimerai que tu sois là..."

[i]Et oui ! Il l'aimait vraiment. Puis il se retourna vers la personne qui l'observait. Peut être qu'il dérangeait ou qu'il gênait. Il ne souriait pas car il ne voyait pas du tout en quoi celà était -il utile. Il ne disait rien et il s'assied au loin en observant la personne qui était là. Ils se regardaient mutuellement sans rien se dire.

[Si quelqu'un ou quelqu'une veut se lancer ]

[On va dire que Judy est venue juste après avoir visité le pont, l'observatoire et le vivarium... Ok ? ]

Elle était encore dans les vêtements qui l'avaient vétu quelques dizaines de minutes plus tôt au vivarium. C'était normal, la salle de théatre était juste à côté. Elle s'était installée sur un siège rouge, bien enfoncé pour que personne ne puisse la remarquer. Bien qu'elle n'aimait pas jouer à Lara Kroft Tomb Rider (un truc du genre...) elle ne voulait pas qu'on lui parle...

La visite qu'elle avait fait plus tôt l'avait épuisé : le pont, l'observatoire et le vivarium. Puis maintenant le théatre. Sauf que la pièce avait une atmosphère fraiche donc c'était plutôt détendant.

La fille soupira. Soudain, quelqu'un entra, elle tourna sa tête et vit un professeur pleurer. Elle aurait aimé éclater de rire mais Judicaël voulait se faire discrète. Puis il commença à crier une sorte de déclaration... Elle sortit donc de la rangée de siège où elle se trouvait un peu plus tôt, contourna tous les sièges pour se retrouer derrière le professeur.

Il ne souriait pas, elle ne pouvait pas vraiment supporter qu'on lui sourit, à par si c'était un élève ou que c'était un admirateur... Sauf que là, c'était un professeur donc s'il lui souriait, elle l'aurait déjà pétrifié...

Il ne disait rien et il s'assied au loin en observant Judy qui était là. Ils se regardaient mutuellement sans rien se dire.

"Est-ce une pièce que vous repetez ou une déclaration à une femme qui ne voudrait pas de vous ?"Demanda-t-elle ironiquement après environ 5 minutes de silence, ce qui était bien long pour la miss.

Elle avait sa baguette dans la poche, heureusement pour elle. Mais ce professeur, monsieur Katarn si ses souvenirs étaient justes, aurait bien plus d'experience que Judy. Et la fille savait qu'il était directeur de Serdaigle et non de Gryffondor donc elle ne voulait pas trop le déranger.

Judicaël le regardait bizarrement. D'un regard profond et noir... Elle ne lui voulait pas de mal, du moins pour l'instant. Elle voulait seulement se reposer donc sans attendre la réponse du professeur, elle s'affala sur un fauteuil rouge qui se trouvait à la droite de la Serpentarde.

Le silence... La fraicheur de la salle... Judy soupira. Le professeur la regarda plutôt méchament. Ca ne lui faisait pas peur les trucs du genre. Les gens croyaient qu'ils allaient lui faire peur en l'observant avec un air sévère mais la fille était bien trop puissante dans son âme pour craindre une personne aussi faible. Quelque chose lui disait qu'il était faible, très faible au fond de lui. Qu'un mystère l'empêchait d'avancer dans sa vie. Sauf que la Serpentarde s'en moquait, presque royalement. Ce n'était pas ses affaires après tout...

La question que venait de poser le professeur avait vraiment l'air idiote. Seulement, le professeur n'avait pas répondu à sa question donc sans jamais renoncer à une question, elle répéta d'abord la sienne :

"Est-ce une pièce que vous repetez ou une déclaration à une femme qui ne voudrait pas de vous ?"

Elle soupira. Puis Judicaël put apercevoir que le directeur des Serdaigle avait sortit une baguette bien usagée. Peut-être n'avait-il pas les moyens de s'en racheter une ? Car elle était bien vieille, Judy pouvait le deviner même de loin. C'était vraiment navrant de voir une personne prendre si soin d'une baguette.

La Serpentarde soupira puis observa la salle : des lustres éteints sur le plafond, seul les lumières qui éclairaient la scène étaient allumées. Les fauteuils étaient en plutôt bon état... Un long tapis recouvrait le sol à partir de l'entrée jusqu'au premier rang qui se trouvait devant l'estrade. La fille voulait aller faire un tour au stade, sauf qu'ils étaient bien trop loin pour pouvoir y voler maintenant... Que faire d'autre que de somnoler dans une salle sombre et calme ? Réfléchir peut-être. Ou bien se souvenir... Et Judicaël remarqua que c'était ce que faisait le professeur.

Ses yeux ne savaient plus où se poser, son souffle était devenu presque inexistant. Quand elle s'apprêtait à somnoler une bonne fois pour toute, elle entendit la voix encore un peu tremblante du professeur lui adresser la parole. Enfin il avait répondu à SA question. Enfin elle pourait répondre à la sienne. Pourtant, la réponse de Mr Katarn n'était pas claire. Mais elle s'en contenterait pour le moment.

Avant que la fille rapplique une parole, peut-être désagréable, le professeur avait déjà repris la parole pour la requestionner. Elle réfléchit... Judy n'avait que ça à faire. Plusieurs réponses étaient possibles. Judicaël leva ses yeux vers le ciel, comme si elle voulait y voir apparaître un ange noir, grand aux yeux bleus. Blond avec un regard triste. C'était ainsi qu'elle imaginait les anges. Du moins, les anges masculins. Elle n'avait aucune idée des anges féminins...

"Ce que je fais ? Je ne pense pas que cela vous regarde mais je peux vous dire que je ne suis pas venu vous embêter puisque je n'avais même pas prévu votre arrivée." Répondit calmement la Serpentarde.

Princeton le regardait, comme le professeur l'observait. Il avait vraiment l'air d'un être qui avait raté sa vie. Elle ne le plaindrait pas. Jamais. Si, peut-être pour se moquer de lui car sur son visage, on pouvait distinguer une goutte de pitié...

S'il répetait une pièce, il aurait pu être n'importe où, en traint de faire, un spectacle de mime, une pièce dramatique ou une comédie. Sur le mât comme dans l'observatoir, assis à terre ou en traint de voler, il pourait répéter et répéter maintes fois les pièces qu'il avait joué autrefois ou qu'il jouerait quelques temps plus tard. Comme Judy qui pouvait ouvrir un livre n'importe où...

[Désolée pour le retard et la médicricité de mon message...]