I) Identité
Nom : Lynnenberg
Prénom : Dalaja
Surnom(s) : //
Date de naissance : 27 mai 1991
Lieu de naissance : Vishakhapatnam, Andhra Pradesh (Inde)
Lieu de résidence : Northampton, Northamptonshire (Angleterre)
Langue(s) parlée(s) : Anglais, telugu, ourdou, hébreux, et à quelques notions de polonais
Groupe sanguin : AB-
Rang : Sang-pûr
Maison : Serpentard, en 6° année
Baguette : En bois de teck avec une épine de manticore, 27.6cm ; sèche, elle est difficile à manier quand on en a pas l'habitude.
II) Caractéristiques
Physique: Bien qu'elle mange pour six, et même plus, Dalaja reste très mince, voire même un peu maigre, parce que quand on pèse 45kg pour 1.78m, c'est un peu juste. Cependant, la jeune fille est en très bonne santé, elle ne ressent aucune faiblesse, ne donne aucun signe d'hypoglicémie ou de diabète... C'est un des mystères de la vie, et de l'hérédité aussi, probablement, puisqu'à bien y penser, papa fait environs 1.95m et pèse une soixantaine de kilos tout mouillé...
Si la silhouette de Dalaja est longiligne et bien dessinée (taille de guêpe et hanches galbées, sans oublier une cambrure incroyable, bref le modèle de la Belle Epoque en personne), cette dernière n'a presque pas de fesses, et tape dans le 80C chez Wonderbra, mais bon, c'est pas ça qui la complexera, bien au contraire.
Sans être belle, Dalaja est jolie et à un certain charme, une élégance innée. Il paraît que son métissage joue pas mal là dedans.
Elle a bien hérité de la peau dorée de sa mère, ainsi que de ses yeux bruns vifs et pétillants, un peu étirés vers les tempes, et ses longs cheveux noirs, splendides, qu'elle hait d'une haine viscérale! Eh oui, car aussi beaux qu'ils soient, c'est une horreur à coiffer, et leur propriétaire n'a qu'une envie : les couper! Le problème, c'est que sa mère s'y oppose catégoriquement, et la seule raison pour laquelle ils n'arrivent pas au niveau des genoux de Dalaja, c'est parce que dans un accès de colère particulièrement fort, elle à prit les ciseaux de couture de maman et a tronçonné dedans "à l'arrache", comme qui dirait, et shalom mon frère!
Pierceé aux oreilles depuis l'âge de six moi, et au nez à deux ans (tradition, quand tu nous tiens!), Dalaja est devenue une adepte du piercing et depuis ses onze ans, s'amuse à faire grandir le nombre de ses piercings.
Les tatouages sont également très importants pour elle. Tatouée à l'henné depuis qu'elle est toute petite, à dix ans, elle a obtenu son premier vrai tatouage alors qu'elle était à Bombay avec son père, elle s'est fait tatouer le Swastika hindou sur la cheville droite. A quinze ans, elle s'en offre un second qui représente une salamandre, son animal fétiche, et qui prend tout le dos.
Signe(s) particulier(s) : Ses nombreux piercings (sept à l'oreille gauche, cinq à la droite, un au nez, deux au nombril, un à la nuque, et un entre le pouce et l'index de la main droite), ses tatouages (le Swastika et la salamandre), un grain de beauté au dessus de la lèvre, à gauche, et une cicatrice au niveau des reins, un peu masquée par la queue de la salamandre.
Caractère : Dalaja est quelqu'un de fondamentalement calme et réflechit.
Fille unique, elle a apprit à s'occuper seule. C'est une lectrice passionnée, et comme elle a une excellente mémoire, elle retient avec une facilité déconcertante toutes les informations qu'elle lit et est tout à fait capable de restituer mot pour mot, un poème, un article, une leçon, un passage d'un roman... Ce don lui évite les fastidieuses révisions des examens, qu'elle passe toujours haut la main. Bonne vue et bonne mémoire, Dalaja est une véritable banque de données, ce qui fait d'elle quelqu'un de dangereux dans la mesure où elle n'oublie jamais rien de ce qu'elle voit ou entend, ou encore, de ce qu'on lui fait ou dit directement...
Dalaja est une excellente musicienne. Elle joue du piano, et du violon, ainsi que du sârangî, l'instrument le plus important dans la tradition hindouiste. Sa bonne mémoire aide à l'apprentissage de ce dernier instrument qu'elle ne pratique pas depuis longtemps, mais qu'elle arrive tout de même à maîtriser avec panache. Pour ce qui est du piano et du violon, le répertoire de Dalaja va de Yann Tiersen à Camille Sain-Saens (qu'elle aime beaucoup) en passant par beaucoup d'autres compositeurs de tous genres.
Ayant le sang chaud de sa mère, elle à aussi son sens du rythme et danse très bien, car pour un hindou, le plus beau moyen de plaire à son dieu est la danse. Souple, elle bouge très bien, c'est un enchantement de la regarder danser.
Le problème de Dalaja est qu'en dehors de la lecture et de la musique, elle se lasse très rapidement de ce qu'elle fait... Si elle ne s'amuse plus, elle détruit ce avec quoi elle s'occupait sans aucun scrupule, autre caractéristique de Dalaja.
Eduquée dans le devoir du respect envers soit et les autres, il est impossible de dire que Dalaja prend les gens de haut, un peu froide, certes, cependant, pour s'attirer son méprit, il faut avoir fait fort, comme une remarque déplacée à son égard ou un sort égaré qui serait tombé sur elle, ou même un coup... Dalaja pardonne rarement, et quand on perd son estime (pour peu qu'on en ait) ou sa confiance (idem que pour l'estime, car Dalaja n'accorde pas aisément sa confiance), on ne les regagne jamais.
On a jamais vu, et on ne verra sans doute jamais Dalaja porter la main sur quelqu'un. Ayant hérité des dons de son père kabbaliste, elle préfère de loin créer un "golem minute", pour ça, plutôt que de s'abaisser à frapper qui que ce soit elle-même. En revanche, Dalaja maîtrise les mots, et à un sens aïgue de la répartie. Aimant l'ironie et acceptant l'auto-dérision, elle ne perd jamais la face, et si on la fâche, que l'on soit sûr que sa verve sera méchante et tombera juste pour blesser son interlocuteur.
Un peu égoïste et égocentrique sur les bords, elle pense à elle avant tout et à son intérêt dans toute chose. Si elle aide quelqu'un, ça sera sûrement parce qu'elle voit quelque chose de bon pour elle, rarement par bonté d'âme, même si ça peut toujours arriver...
Dalaja à de l'ambition. Certes pas dans le monde magique, devenir auror, médicomage ou même ministre ne l'intérêsse absolument pas, en revanche, elle rêverait d'être un écrivain
réputé, mais dans ce domaine, sa mémoire l'handicape : si elle a une idée d'histoire, elle se rappel toujours avoir déjà lu quelque chose d'un peu semblable dans tel ou tel livre... Elle doit donc réussir à dépasser ça, et sa volonté est inébranlable, rien ni personne ne la fera changer d'idée. Voilà peut-être un des raisons pour lesquelles elle a été admise à Serpentard...
III) Famille
Père : Piotr Lynnenberg
Né à Warsaw (Pologne) d'un père polonais et d'une mère anglo-polonaise, tous deux juifs ainsi que sangs-pûrs, Piotr passa les deux premières années de sa vie dans son pays natal avant d'aller vivre en Angleterre où sa mère venait d'hériter une petite maison de son grand oncle Lawrence, qui l'avait toujours beaucoup aimée.
Piotr allat donc à Hogwarts où il passa ses septs années d'études, puis abandonna partiellement la magie puisqu'il devint kabbaliste de renom.
Calme, doux et passionné, il est un père très attentif et sa seule angoisse est le caractère, pas si facile, de sa fille, confronté à ses camarades...
Mère : Mahima Krishnamurti
Née à Vishakhapatnam (Inde) d'un père brâhmane (sorte de shaman hindou) et d'une mère guérisseuse et prêtresse dont la septième aïeulle à assisté à la septième avatara de Shiva, donc sangs-pûrs dans leur genre, Mahima hérita de leurs dons, et bien qu'il se fit plus rare chez les filles, elle partageait surtout celui de son père. Le fait d'avoir des "connexions" par moment donnait des migraines attroces à Mahima, qui devait passer tout le reste de la journée couché si elle ne voulait pas avoir de nausées... Pour éviter ces "connexions", elle devait se concentrer sur autre chose, elle choisit donc d'étudier, et devint interprète, parlant courament plusieurs dialectes d'Inde, l'anglais et le mandarin.
Impulsive, souriante et toujours enjouée, c'est une mère rêvée, elle se desespère de voir sa fille rester si souvent seule et est un peu inquiète au niveau de son caractère, comme son époux.
Animaux de la famille : Six chats de gouttière appelés respectivement : Machin, Bidule, Truc, Chouette, Tartenpion, et L'Autre...
Animal à elle : Mouche est son chat a elle. Malgré ses cinq ans, il ressemble à un chaton d'un an... Dalaja l'adore. Il est roux avec une oreille et le bout de la queue blanche.
IV) Histoire
Piotr Lynnenberg rencontra Mahima Krishnamurti alors que celle-ci travaillait pour un Pakistanais ne parlant pas un mot d'anglais et désirant consulter le kabbaliste réputé qu'était déjà Piotr. Il trouva aussitôt l'interprète très séduisante, et alors que son client allait repartir (avec sa traductrice), il se décida à lui demander combien de temps elle restait en Angleterre. Mahima ne restait que deux jour, mais visiblement pas insensible au charme de Piotr, elle lui assura qu'elle faisait régulièrement des voyages en Angleterre, et qu'ils pourraient se revoir s'il lui donnait son numéro. Chose dite, chose faite. A peine un mois plus tard, Mahima était de retour et appelait Piotr. La suite fût assez banale, ils se plaisaient, se découvrirent quelques points communs (dont la magie), et à force de rencontres, tombèrent, c'était inévitable, amoureux l'un de l'autre. Au bout d'un an à se voir par intermitence, Mahima décida d'aller s'installer avec Piotr. Devenant traductrice pour une maison d'édition, ils achetèrent un appartement, mais six mois plus tard, quand Mahima comprit que ses nausées à répétition n'étaient pas dût à ses dons de brâhmane, ils achetèrent une petite maison pas trop chère et pas trop mal.
Quelques huit mois plus tard, à Vishakhapatnam, en Inde, selon les coutumes hinoues, naquît Dalaja, qui reçut toutes les bénédictions possibles et imaginables.
A deux mois, elle fût "rapatriée" en Angleterre où elle grandit, entourée des mythes hindoues et juifs, et à quatre ans, commença à jouer les brâhmanes, au desespoir de sa mère, car elle connait le genre de migraine ça provoque. Mais visiblement, Dalaja n'y était pas aussi sensible, et son don s'étiola quelque peu. Il lui arrive parfois de tomber en transe, mais rarement, et elle est plutôt du genre à prédire des choses pas très utiles, comme la météo, ou bien où retrouver les clés de la voiture (oui, ils en ont quand même une, c'est pratique ces engins) la prochaine fois qu'elles seront perdues...
Très intéressée par la kabbale, à huit ans, un après-midi de pluie, alors qu'elle joue avec un tas de terre glaise, Dalaja s'amuse à y écrire le mot "vie" en hébreux, et son tas prend miraculeusement vie. Après dix minutes à s'amuser de ce petit tas, ce "mini-golem", lassée, elle le "tue" en retirant les deux premières lettres. Ses parents sont assez abasourdis par les dons de leur fifille (parce que réussir un golem, aussi informe soit-il, quand on a huit ans, c'est pas donné à tout le monde). Depuis, elle aime à fabriquer ce qu'elle appel des "golems-minute" (vite fait, bien fait) pour un rien: ranger sa chambre, sortir la poubelle... Le problème, c'est qu'un tas d'argile qui bouge, ça ne passe pas inaperçu, alors elle tente de sculpter son sosie... Après tout, tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir!
L'année de ses onze ans, elle entre à Hogwarts, comme son papa, et est répartie à Serpentard. Dès la première année, elle trouve moyen de tomber, pendant le cours de vol, et ce, sur une des gargouilles du toit... Elle s'ouvre copieusement le dos, vers les reins, et même l'infirmière n'a put se faire résorber totalement la blessure. Dalaja garde une balafre, souvenir de ses premiers cours de vol. Sinon, ses quatres autres années se passent sans problème. Plutôt solitaire, elle n'a pas beaucoup d'amis, et ne cherche pas spécialement à s'en faire. Depuis sa troisième année, elle excelle dans en arithmancie et en divination, mais avec le don de sa mère, ça n'a pas grand chose d'étonnant...
V) Autres trucs facultatifs et probablement sans importance
Aime : Lord Byron, le chocolat blanc avec des noisettes entières, écrire, toutes les teintes de marron, ses chats, faire des "golems-minute" pour ranger sa chambre plus vite, nager, Winnie the Pooh, jouer du piano et du violon, les Simpsons, Chantal Thomass, prendre des bains très chauds avec beaucoup de mousse, lire, le jus de goyave, porter le sari, Mouche, Alice au pays des merveilles, Johny Depp, regarder des vieux films en noir et blanc, Bollywood, Terry Pratchett, et manger!
Aime pas : Devoir ranger sa chambre sans aide magique, sortir la poubelle, qu'on remarque sa cicatrice et qu'on lui demande comment elle s'est fait ça (elle n'en est pas très fière), rater ce qu'elle entreprend, se rendre compte que ce qu'elle est en train d'écrire ressemble à telle nouvelle ou à tel roman, être privée de dessert, qu'on la presse.
Petites manies : Dalaja mordille souvent une mèche de cheveux quand elle rêve, qu'elle est stressée... enfin, c'est un reflexe. Sinon, quand elle est énervée, elle tapote de ses longs ongles parfaitement manucurés ce qui lui tombe sous la main.
Son objet fétiche : L'étoile de David que son père lui à offert et qu'elle porte presque tout le temps.
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