I.Généralités:
Nom: Wales
Prénom(s): William, Bastien, Jeremy
Surnom : Will, il a horreur qu’on l’appelle William
Date de naissance: : 1er janvier
Age et année à Poudlard: 17 ans, 7ème année
Sexe: masculin
II. Physique:
William est ce que l’on pourrait appelé communément quelqu’un de... très beau ! Ses cheveux d’un blond délavé encadrent un visage qui ne rend pas indifférent. Ses yeux noisette sont profonds et charmeurs, recélant une étincelle de ruse. Son nez est fin de même que ses lèvres qui s’étirent sans cesse sur un sourire… arrogant et goguenard. Grand et plutôt bien bâti, mesurant pas loin des un mètre quatre vingt trois, Will’ possède un corps qui pourrait faire craquer plus de la moitié des filles. Ses mains sont étonnements fines et féminines, et c’est sûrement la seule chose qu’il se reproche. Parce que monsieur est d’une modestie à toute épreuve attention…
Il est très bon en sport, particulièrement en Quidditch. Il est agile de ses mains, et par conséquent est doué en travaux pratiques. Il est pourtant très flemmard, et s'il n'a pas envie de bouger, il ne bougera pas, point barre. Il ne fait absolument pas attention à ce qu'il mange, se gavant de tout et n'importe quoi. Et le pire c'est qu'il ne prend pas un gramme...
Il s'habille le plus souvent dans les tons clairs, trouvant les couleurs foncées démoralisantes. Conversses, Jeans et t-shirt sont ses meilleurs amis!
III. Caractère:
Défauts: à part l’arrogance et son égoïsme pur ? Oh, William est peut être quelqu’un de quasi parfait physiquement, mais intérieurement tout est pourri jusqu'à la moelle ! Railleur, taquin et espiègle, ce jeune homme a un goût prononcé pour l’humour… de toute sorte. Il aime plus que tout se mettre en avant, et la manipulation est quelque chose de très naturel chez lui. S’il veut quelque chose, il fera tout pour l’obtenir, même s’il doit blesser quelqu’un. Il ne demande jamais l’avis des autres, mais ne se fiche pas du tout de leur regard. Sinon, il ne fanfaronnerait pas autant… et ne cacherait pas son véritable caractère derrière une aussi piètre couverture. Car le plus gros défaut de William est peut être finalement le fait qu’il ne se montre jamais au naturel. Car ce caractère là est tout autre, peut être même tout le contraire de ce que je viens de citer…
Qualités: le caractère qu’il montre aux autres n’a peut être que de rares qualités, et des fois je me demande s’il y en a vraiment. Par contre, ce qu’il cache sous des couches d’arrogance et de dédain, est tout autre. Cette attitude agaçante cache en vérité la douceur et la gentillesse même. Généreux et fidèle, le vrai Will est quelqu’un d’exceptionnel. Attendrissant et troublant, il est d’une grande sensibilité. Personne n’a jamais vu le vrai William. En tout cas à Poudlard. Enfin peut être, mais alors ils sont très peu… peut être même pas au pluriel. Pourquoi cache t-il ce caractère ? Pourquoi se fait-il passer pour quelqu’un qu’il n’est pas ? Pour un être qu’il déteste en vérité ? Il ne faut pas chercher bien loin…
Ce que votre personnage aime: William aime la sincérité et la loyauté. Car la qualité que l’on pourrait reconnaître au faux Will est sûrement la loyauté. Mais attention ! Il n’est loyal qu’en ceux qui sont en retour loyal avec lui ! Parce qu’il est inutile de préciser le nombre de coups bas que monsieur a fait…
Sinon, il aime le calme et la méditation. L’agitation, ce n’est par pour lui, le vrai Will. Parce que l’Autre ne demande que ça… être au cœur des problèmes, des histoires, c’est ce qu’aime le Will arrogant.
Il ne porte pas les études dans son cœur, mais il aime apprendre de nouvelles choses… quand ces choses l’intéresse un temps soit peu !
Ce que votre personnage n'aime pas: Les chats. Il a HORREUR des chats ! Leurs yeux luisant dans la nuit… leurs petites canines… bouarrrrk ! Ces animaux lui donnent des frissons ! Il ne les supporte pas, et les chats lui rendent bien l’appareil.
Il n’aime pas non plus les cours. Sauf peut être celui de soin aux créatures magiques et de métamorphose. Il n'aime pas trop les filles. Elles lui servent juste de "jouet" ou de lui tenir compagnie ou encore de l'amuser. Mais aucune n'a vraiment jamais réussit à lui plaire. Ah, il a horreur aussi qu'on l'appelle William. Un conseil, appelez le Will ! Il n’aime pas les moldus. En tout cas, il ne les porte pas du tout dans son cœur. Et ça, comme son vrai caractère enfoui au fond de lui, tout ça est dû à son passé…
IV. Histoire:
L’histoire de William n’est pas des plus heureuse. Pas des plus horribles et malheureuse qui soit, certes, mais son enfance n’est pas à marquer dans les beaux souvenirs d’un album photo.
Son père, le fils d’une bonne famille de sorcier et ayant fait ses études à Serpentard, est tombé fou amoureux d’une jeune femme. Petit problème : la femme en question était aussi moldue que lui sorcier. Alicia était une très belle femme aux longs cheveux blonds délavés et aux étonnant yeux noisette. Quant à William (le père et le fils portent le même prénom !), il n’était pas d’une laideur repoussante, mais on ne pouvait pas le qualifier de beau non plus, malgré le fait qu’on pouvait lui reconnaître un certain charme.
Fou d’amour, pourtant dégoûté par les origines de celle qu’il aimait, il fit des avances à Alicia. La jeune femme les refusa gentiment, mais William ne désespérait pas. Quand l’homme désirait quelque chose, il l’avait toujours. Pourquoi une femme lui résisterait ? Finalement, la jeune femme céda. Et William, fils de William (xDD), vint au monde à peine un an plus tard. Seulement, la jeune mère commençait à vouer une haine profonde pour l’homme qui était dorénavant son mari. Et le mari aimait autant sa femme qu’il ne la haïssait… seulement, la tension entre le couple restait enfoui au fond d’eux. S’ils faisaient autant d’effort de leur côté, c’était surtout pour leur fils.
William junior atteint finalement ses six ans, insouciant comme n’importe quel garçon de son âge. Il était la douceur et la bonté même. Et il est bon de savoir, pour comprendre la suite de l’histoire, que l’enfant attirait toute l’attention de sa mère qui au bout de 6 ans, avait complètement délaissé son mari. Alors surgit l’élément déclencheur.
Le petit William tomba gravement malade. Ayant toujours été d’une constitution fragile comme sa mère, la pneumonie qui le dévora aurait dû être fatale. Mr Wales étant en voyage d’affaire, et la famille Wales ne possédant aucune voiture et n’ayant aucun voisin, Alicia Wales ne pu l’emmener à l’hôpital ou appeler un médecin, elle qui ignorait tout des moyens de correspondance sorcier…
Elle demeura donc au chevet de son fils, n’hésitant pas à dormir avec lui les nuits alors qu’elle risquait elle aussi de tomber à son tour malade. William reprenait vie jour après jours. Le petit garçon de six ans reprenait peu à peu ses forces. Quant à sa mère… elle se mourrait, à son tour rongée par la maladie.
Quand Mr Wales revint, il retrouva son fils presque complètement guéri, et sa femme – Ô dieu sait comme il la haïssait et l’aimait en même temps ! – sur son lit de mort.
Alicia Wales mourut un 13 décembre, à 3 heures du matin, emporté par une pneumonie.
Depuis ce temps, le père de William haït son fils. Il l’accuse de lui avoir enlevé l’être le plus cher à son cœur, de l’avoir tué. La mort de sa mère sur la conscience et la haine que lui vouait son père, eurent de grandes répercutions sur son comportement. De doux et gentil, il passa d’arrogant et d’égoïste.
William Senior, pour faire taire sa douleur, se fit croire qu’il avait toujours haït Alicia. Qu’elle n’était qu’une pauvre moldue qui ne l’avait jamais aimé et qui lui avait ensuite subtilisé son fils. Comme quoi, les hommes arrangent leurs souvenirs comme ils le souhaitent et comme cela les arrange.
Plusieurs fois, le père a fait tondre de force la tignasse blonde de son fils qui l’insupportait. Il lui rappelait trop son Alicia pour pouvoir l’aimer comme un père… et une rancœur sans renom s’immisça entre lui et son fils. Mais chaque fois que Will devenait chauve, ses cheveux repoussaient dès le lendemain. Et l’enfant prit vite plaisir à voir la mine en colère et haineuse que lui jetait sans cesse son père. Plus le temps passait, et plus il prenait plaisir à croiser le regard de cet homme -qu’il devait appeler père -, sachant pertinemment que cela rendait l’homme fou. Car William junior était la copie conforme au masculin de sa mère… combien de fois l’homme l’avait-il roué de coup, l’accusant d’être le diable venu le hanter ? Combien de fois l’avait-il attrapé par les cheveux, lui susurrant à l’oreille qu’il allait le tuer, qu’il n’avait pas le droit d’être en vie ? Combien de fois le jeune William s’était retiré dans sa chambre, attendant que la colère meurtrière de son père ne se calme ? Combien de fois son géniteur avait-il faillit l’assassiner sous le coup de la Haine et de la Colère dévastatrice ? Mais cela était du passé, et Will n’avait plus peur de son père… et le contraire commençait à s’installer. Le jeune garçon se jura qu’un jour son père aurait peur de lui…
V. Autres:
Reception de la lettre: "WIIIILLLLLLLLLLIAAAAMMMMM !! NOM DE …"Un fin sourire étira les lèvres dudit appelé. Le jeune garçon de onze ans se trouvait allongé sur son lit, les bras derrière la tête, contemplant le plafond avec un sourire arrogant et un peu amusé. Ce cri, c’était son père. A force, il était habitué, et cela faisait maintenant bien longtemps qu’il ne sursautait plus ou n’éprouvait plus la moindre nuance de peur. Parce que s’il avait eut un temps soit peu peur, il n’aurait jamais eut le culot de vouloir provoquer les fureurs de son père. C’était maintenant presque devenu un jeu pour lui, s’amusant à prévoir les réactions de son géniteur, et ses degrés de colère. De toute façon, il n’y avait rien d’autre qui pouvait l’amuser ici… alors c’était ça ou traîner dans le manoir sans rien faire. Autant servir à quelque chose, non ? Au moins, lorsque son père éclatait de rage, tout deux dormaient bien le soir suivant ! Ca rendait service, non ?
Bref, Will se leva, et prit son temps pour descendre. Déjà grand pour un garçon de onze ans, son regard et sa frimousse de jeune homme le rendaient plus mature que son âge voulait bien lui donner.
Il s’arrêta en haut des escaliers, et le plus naturellement du monde, se hissa sur la rambarde en bois, et y glissa. Il se retrouva en moins de deux en bas des escaliers, où son père l’attendait, luisant d’une substance apparemment visqueuse. Serait-il inutile de préciser que le jeune Wales a réunit pendant ces deux dernières années un magnifique élevage de Veracrasse ? Et donc que pendant la nuit il n’a pu résister à l’envie de semer dans l’escalier la substance peu ragoûtante sécrétée par ses petits amis en un an ? Substance qui inondait toutes les marches des escaliers en bois d’acajou sculpté à présent. Et inutile de préciser en plus que Mr Wales s’était levé ce matin, et avait dégringolé les escaliers en glissant sur la substance ? Ce qui expliquerait un peu la drôle de teinte qu’avait prise son visage."Encore toi ! William Bastien Jeremy Wales !! Tu es un être immonde et abjecte ! Te rends tu compte que j’aurais pu me tuer ? De plus, cette substance est affreusement répugnante et… mais ! Attend ! C’est de la sécrétion de Veracrasse ! Par Salazar Serpentard ! Où est-ce que tu…""Va te laver au lieu de gaspiller ta salive inutilement pour me postillonner dessus. L’être le plus répugnant de nous deux, c’est toi père… "Will se détourna, et ouvrit la porte d’entrée. Son père avait à peine eut le temps de répliquer que son fils était déjà sorti.
Vêtu d’un jean et d’une chemise blanche, le jeune garçon s’avança dans le parc qui entourait le manoir. Il savait qu’il devrait bien retourner chez lui et affronter la fureur de son père, mais il avait le temps comme d’habitude. Et puis au moins, il s’occupait comme il pouvait…
En cette journée de début juillet, le jeune Wales s’ennuyait ferme. Alors qu’il s’asseyait contre le tronc du grand saule pleureur sur la berge du petit lac de leur propriété, un battement d’aile tout près lui fit relever la tête. Une chouette grise le regardait, posée sur l’herbe devant lui. Will croisa son regard, et l’animal s’envola vers lui pour se poser sur son épaule. Entre ses serres était attaché une lettre. Reconnaissant son nom et son prénom, le jeune homme détacha la lettre, le cœur battant. Se pouvait-il que… ? Oh ! Cela faisait tellement longtemps qu’il attendait ce moment ! Mais son enthousiasme s’évanoui lorsqu’il se rendit compte que cela pouvait très bien être une lettre pour son père, puisqu’ils possédaient tout les deux exactement le même nom et prénom. Pourtant, le cachet rouge représentant quatre animaux ne pouvait que mieux représenter le fait que cette lettre était bien pour lui…
Deux heures plus tard, Will était de retour dans sa chambre. Il était monté sans bruit, son père lisait dans le salon. Il relisait encore et encore sa lettre. Il n’arrivait toujours pas à le croire. Dans deux mois, il quitterait le manoir ! Il ferait sa rentrée à Poudlard ! Il étudierait la magie, et tout ça loin de ce lieu rempli de souvenirs douloureux. Loin de la chambre de sa mère dont la porte était close depuis tant d’année…Sa baguette magique: 29,9 cm, bois de saule pleureur, contenant un crin de Sombral.
Ses passions: la métamorphose, les dragons, la drague (no comment =.='), et semer la zizani sur son passage.
Ce qu'il voudrait faire plus tard: il n’en a franchement aucune idée. Il aimerait travailler dans le domaine de la métamorphose, ou s’occuper des animaux magiques comme les dragons.
Ps: Peut être que certains l'auront remarqué à cause de la forme de la fiche, mais William est un double compte... celui de Tiffaine, la seule et l'unique! Herm, bref. Je ne sais pas s'il fallait prévenir un admin, mais si oui je m'excuse de ne pas l'avoir fait! En espérant que vous prendez pas en grippe ce perso juste parce que c'est moi
Re Ps: Pour la maison, je laisse le soin aux Admins de la choisir! Bien que je ne le vois pas à Serpentard, puisque finalement il a un bon fond. M'enfin, qui vivra verra!