*Nom : McLane
*Prénom : Lean
*Surnom : Le Bizarroïde
*Age : 16ans
*Date de Naissance : 2 Décembre
*Signe Astrologique : Sagittaire
*Sang : Mêlé, Mère Moldus, Père Sorcier.
*Groupe Sanguin : A Positif
*Sexe : Masculin ♂
*Lieu de Naissance : Irlande
*Lieu d’habitation : Poudlard pour les périodes scolaire, Irlande en d'autres temps.
*Nationalité : Irlandaise
*Maison : Poufsouffle
*Année : 6ème
*Poste : Poursuiveur dans l’équipe des Pouf
* Objet Fétiche : Ses écouteur vert Lime qu’il porte quasiment toujours, même quand la musique est couper sur son lecteur CD.
* Matière Préférée : Défense contre les forces du mal, Potion, Enchantement, Métamorphose, Étude des Runes, Histoire de la magie, Histoire des Moldus
* Matière Détestée : Divination ._.
* Epouvantard : Les Loups Garou
* Patronus : Un Aigle
* Nombre de piercings : Un, a la langue.
* Couleur des chaussettes : Vert Oo… Noir, blanc, gris
* Le prénom qu’il n’aurait jamais voulu porter : Adam
* Position dans laquelle il dort : Sur le ventre ou le dos
* Lunettes ou verres de contact : Verre de contact
* Couleur préférée : Vert, mauve et bleu foncé
* Saison détestée : L’hiver, il se casse toujours la gueule sur la glace
* Nombres de relations sérieuses : Une, qui a plutôt mal tourné.
* Alcool : Attendez … C’est un irlandais, BIEN SUR DE L’ALCOOL.
Pour un enfant n’ayant jamais grandit dans le monde de la sorcellerie, ce rendre sur le chemin de Traverse devenait une grande aventure. Lean étant un enfant facile a impressionné, fut comblé quand il débarqua dans la boutique du grand Ollivender, le meilleur fabriquant de Baguette magique qui pouvait y avoir dans le monde de la sorcellerie. Bien qu’il fut un enfant d’une mère Moldu, Lean connaissait cette boutique depuis tout jeune et connaissait également les mérites que tous lui portait. Son père – un sorcier depuis des générations- lui avait raconté combien le fabriquant prenait bien soin de faire une baguette propre a chaque sorcier, aucune baguette n’était identique. Certes, il existait des baguettes jumelles, mais elles avaient des touches bien a elle, comme de vrai jumeaux, ils pouvaient être identique au premier regard, mais a l’intérieur… D’ailleurs, une phrase que lui avait dite son père le marqua longuement.
«- Ce n’est pas le sorcier qui choisi la baguette, mais celle-ci qui choisi son sorcier. »
Émerveiller par les paroles de son paternel, Lean sentait déjà l’excitation à l’idée de voir quel baguette lui irait le mieux. Regardant autour de lui, Lean put voir qu’il n’était pas le seul gamin de la place. Plusieurs étaient venu avec leur parents afin d’avoir leur baguette également, il fallait le dire, la rentrée n’était plus qu’à trois jours de là. Voyant sa cousine et ses deux cousins un peu plus loin, le jeune homme s’aventura vers eux, souriant mais surtout émerveiller par Sarah qui, la bouche entrouverte, testait l’une des baguettes qu’elle tenait entre les mains. Le spectacle ne dura que quelques minutes, après qu’elle eut fait explosée les vitrines du magasin, Ollivender préféra lui retiré cette baguette des mains. Même si la scène cessa brusquement, l’impatience de Lean elle, continuait de monter en flèche. Quand Liam fut finalement passé à son tour, le regard de Lean changea pour laisser place a de l’excitation. A quelques pas d’eux, le propriétaire de la boutique l’étudiait du regard, demandant à George –père de Lean- quelques informations sur le garçon. Il eut a attendre à peine 5 minutes que l’homme revint avec une boite vert forêt, un petit sourire sur le visage. Une fois la boite ouverte, Lean abaissa le regard vers la dite baguette qui reposais sagement sur un fin tissu tout aussi vert que la boite. Si Sarah dut tester deux ou trois baguette, Lean trouva la sienne aussi rapidement que son cousin Liam. Dès qu’il vit la couleur verte de sa future baguette, il sentit son cœur faire plusieurs bonds dans sa poitrine.
Alors qu’il prenait délicatement celle-ci entre ses doigts, Ollivender expliquait que cette baguette était la jumelle de celle de la jeune Sarah (sa cousine). Le même bois d’if Irlandais, une nuance de vert un peu plus clair cependant. La seule différence fut qu’à la place d’un trèfle a 4 feuille, un cheveux de Farfadet reposait au centre de la baguette ainsi qu’une fine goutte d’huile de Trèfle. Surpris (d’abord parce qu’il aurait cru que Liam posséderait la baguette jumelle a sa sœur) et émerveillé par les étincelles multicolore qui sortait du bout de sa baguette, le jeune homme pointa vers le vide et l’agita doucement. Aussitôt la magie en sortie par un petit trèfle volant et tournoyant autour de leur tête.
La baguette l’avait choisi Lui… Alors qu’il la senti vibrer sous ses doigts, Lean avait l’impression de tenir un chaton heureux d’avoir trouvé son maitre. Heureux pour le reste de la journée, l’Irlandais d’onze ans sautillait et gambadait dans tout les sens, chantant une cantine Irlandaise… Il avait enfin SA baguette.
Une fois l’achat de la baguette fait ainsi que les livres et robes de sorciers, Lean figea devant l’une des plus belles boutiques de tout le chemin de Traverse. Même s’il s’avait que les premiers années n’avait aucunement le droit d’avoir un balais en leur possession, l’envie y était tout de même. Dans la vitrine de la boutique se tenait un magnifique Brossdur 16, le tout nouveau modèle chez les Brossdur. Ceux-ci n’ayant plus sortie de leur création depuis 1995, avait maintenant mit au point LE balais qui pouvait atteindre une vitesse dépassant les attentes. Bien que le vole sur balais fut quelque chose de rare chez le jeune homme, son envie d’avoir son propre balais avait repris le dessus et son père semblait bien l’avait remarqué. Se fut donc dans un hurlement de joie que Lean, Sean –cousin le plus proche- ainsi que son père entrèrent dans la boutique. C’était d’ailleurs grâce à Sean si Lean adorait le Quidditch autant et qu’il savait monter sur un balai, puisqu’à chaque été, ils passèrent la moitié du temps sur un balai à faire des acrobaties et les fous. De plus, quand Sarah, Liam et Matthew étaient présent, ils s’en donnaient à cœur joie pour faire une partie de Quidditch qui semblait durer des heures et des heures, sous le regard amusés des parents présent sur la terre ferme.
Sean occupant toujours le poste de Batteur, se débrouillait comme un chef, s’amusant au dépend de Lean qui lui, poursuiveur devait faire des pieds et des mains afin d’évité les cognards de son cousin.
Le sourire toujours sur les lèvres une fois dans l’immense boutique, les deux garçons observait avec attention les balais présents dans les lieux. Une fois encore, le regard de Lean se posait sur le Brossdur 16, le cœur battant de plus bel. Aucun balai dans la boutique ne semblait l’intéresser autant que celui-ci. D’une main tremblante, il tendit la main vers le manche, le caressant du bout de ses doigts. Alors qu’il passait ses doigts lentement sur le manche, son regard s’abaissa vers l’écriteau qui se trouvait sous le balai :
« - Avec sa ligne aérodynamique et son manche en chêne d’Espagne, recouvert d’un vernis anti maléfices et dispositif intégré de contrôle des vibrations, ce balai de course représente le dernier cri en matière de technologie. Chaque modèle porte sur le manche une plaque argent qui permet d’inscrire le prénom du propriétaire, si demande il y a. Tout comme l’ancien Éclaire de Feu, les branches de chênes furent soigneusement sélectionnées et taillées une par une pour obtenir le meilleur coefficient de pénétration dans l’air, donnant au Brossdur 16 un équilibre et une précision insurpassable. Avec des accélérations de 0 à 260 KM/H en dix secondes et un sortilège de freinage à toute épreuve, le Brossdur 16 offre les meilleures performances et les meilleures conditions de sécurité actuellement disponibles sur le marchés. »En descendant le regard un peu plus bas, Lean put voir un N.B.
«- A noté, que le bois de chênes est souvent reconnu comme bois à baguette. » Ignorant si cela avait une quelconque importance, le jeune homme fonça vers son père, lui tirant la manche pour avoir son attention afin de lui indiquer que c’était CE balai qu’il voulait.
Et se fut ce balai qu’il obtenu.
Qui dit rentrée scolaire, dit aussi animal de compagnie. Un chat ? Non, Sophia –Grande sœur de Lean- possédait déjà un tel animal, cela ne serait qu’un félin de plus. Un rat ? Non seulement cela devenait trop commun, mais Lean en avait une peur assez flagrante. Même si un hibou serait des plus pratiques, Lean savait qu’il pourrait se servir de l’un d’eux à l’école. Non, il avait beau faire le tour de cette boutique pour animaux, aucun ne semblait vraiment tape à l’œil pour le garçon d’onze ans. Même quand son père lui proposa un crapaud –en petite blague-, le jeune homme ne trouva rien de mieux que lever les yeux vers le plafond, petit sourire en coin pour finalement quitter les lieux dans un fin soupire. Déçu de ne rien avoir trouvé pour son fils, George décida d’amener celui-ci dans cette boutique pour Farce et attrape pour sorcier Facétieux. Cela aiderait probablement Lean à oublier l’envie d’avoir un animal. Se fut une bonne idée, puis qu’une fois dans les lieux, le regard du jeune homme se posa sur une cage entreposé près de la porte. S’approchant à pas de loup vers celle-ci, il put facilement observer c’est petite boule duveteuse qui se tenait dans cette cage, s’agitant, sautillant et tournant dans tout les sens. Il fallait l’avouer, ils semblaient aussi actifs qu’un hibou et aussi affectueux qu’un chat. Leur couleur qui variait entre le rose et violet leur donnait une touche unique, le type même que ce que recherchait Lean comme animal. C’est pourquoi, quand il vit c’est bestiole, il demanda aussitôt à en avoir un, celui qui semblait le plus petit et qui s’amusait tout au fond de la cage. Celui-ci possédant un duvet au teinte de violet allant vers le noir, il fut baptisé : Twist. Et le pourquoi d’un tel prénom était très évident. Après l’avoir bien observé, Lean avait trouvé marrant de le voir tourner sur lui-même comme une toupie ou encore, telle une tornade sans fin. Bien sur, comme Lean n’avait jamais réellement eut d’animal et comme le chat de sa sœur ne l’appréciait pas des plus hauts point, le jeune homme avait une certaine crainte que Twist ne l’apprécie pas également. Mais aussitôt que l’animal fut sur l’épaule du garçon, celui-ci sembla l’adopté automatiquement. Ne quittant plus l’épaule de Lean, « sifflotant » une douce mélodie au rythme joyeuse, tout en lui mordillant par moment l’oreille en signe d’affection et de présence.
Une longue amitié semblait avoir débuté.