::Riddikulus Hogwarts::
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 Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....[Libre]

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Valentine Nolwenn
¤ Préfète :: Serpentard :: 7ème
Valentine Nolwenn


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Maison : Serpentard
Baguette Magique : 30 cm, en bois de saule pleureur, contenant une plume d'hippogriffe
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Maison : Serpentard
Surnom de Riddi : Iceberg
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MessageSujet: Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....[Libre]   Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....[Libre] EmptySam 6 Oct - 15:49

Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....

Le temps passe, les secondes s'emparent de notre corps, nous faisant vieillir, nous torturants. Chaque seconde peut devenir une minute si elle a envie. Chaque minute peut devenir une heure si la secondes l'a décidé. Tout est en éternel relation, dans une danse torturante.

Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....

Le temps passe, les secondes peuvent nous transporter ailleurs, dans une infinie tendresse. Chaque seconde devient alors une demi-seconde, entraînant le reste dans son sens. Les minutes deviennent alors des secondes et les heures devienne des minutes. Le temps passe finalement sans que l'on puisse s'en rendre compte, dans une douceur parfois indescriptible.

Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....

Étrangement, le temps semble aimer torturer les esprits la nuit, alors que tout est calme, quand notre esprit est encore plus aux aguets aux moindres bruits que durant la journée. Un petit craquement et on se retourne, méfiant, mais on tombe face à face avec le vide. Un grincement et on se lève d'un bond, prêt à bondir sur la chose ou à se sauver, mais on ne trouve jamais grand chose. Non sens sont aux aguets, un peu pour nous rendre fou.

On se trouve ridicule, mais on n'y peut pas grand chose, sauf peut-être se promener avec des bouchons dans les oreilles, mais, dans ce cas, la moindre petite ombre va réussir à nous rendre fou. Qui est-ce ? Qu'est ce que c'est ? C'est dangereux ? Rien pour nous faire plaisir.


"Dégages !" Hurla Valentine au fantôme qui s'amusait à l'embêter depuis quelques minutes. C'était la septième fois qu'elle lui disait, mais il était encore là, à rire d'elle. Ah, quel joie ce stupide fantôme. Elle prit alors son livre qu'elle lui lança dessus. Elle en fut pas surprise de le voir le traverser, mais ça faisait du bien de pourvoir l'attaquer, même si ça lui avait fait aussi mal que plume qui tombe sur la tête d'une personne.

Mais lui, il continuait toujours de rigoler en décrivant des cercles autour d'elle.


"Hayden, dégages !" Cette fois-ci, le ton de sa voix était beaucoup plus colérique et son visage était devenu presque laid tellement la colère y était présente. Il finit par comprendre et il disparut dans le plancher.

Le jeune femme se laissa alors tomber dans l'un des sièges de la salle de théâtre, se fichant complètement du livre qu'elle avait tiré. Il devait être quelque part, mais elle avait aucune envie de le chercher, même avec l'aide de la magie. Elle donna un bon coup de pied dans le siège en avant d'elle pour de défouler, mais la colère était toujours présente.

Il devait être près de minuit et cet endroit était désert. C'était d'ailleurs pour cette raison que la Serpentarde l'avait choisi. Pour avoir un peu de solitude, mais il avait fallut que ce stupide fantôme vienne l'embêter un peu. Un coup des Gryffondors ? Pourquoi pas. Il était possible qu'ils aient demander à ce fantôme de malheur d'aller la retrouver et de faire mumuse avec elle, mais c'était être seule qu'elle voulait.

Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....

Sauf que le temps ne l'oubliait pas.
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Hayden Wayne
|:. Fantôme .:|
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Hayden Wayne


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MessageSujet: Re: Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....[Libre]   Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....[Libre] EmptyJeu 18 Oct - 23:27

[C'est sans doute un peu étrange de se répondre, mais je veux faire bouger Valentine, alors je prends les grands moyens.]

Quand on n’a rien n’à faire, on peu aller dormir, rejoindre des amis ou manger. Mais quand l’on est un fantôme, l’on ne peut manger. C’était une chose qui manquait beaucoup à Hayden, surtout quand il voyait tous les bons plats que les étudiants dégustait ou se gavaient, tout dépendait de l‘étudiant en question. Il y avait tellement longtemps qu’il était mort, qu’il n’avait même plus le souvenir de la nourriture. Et dire que son dernier repas avait été du sanglier avec des pommes de terre. Rien de, commentdire, si exceptionnel que l’on pouvait encore s’en souvenir 300 ans pus tard.

Quand on est un fantôme, l’on ne peut pas dormir non plus. C’est sans doute un prix à payer pour avoir eut peur de la mort ? On ère alors, jours après jours après jours après jours après jours après jours [Je répète les même mots XD]. On n’a même parfois l’impression d’être fatigué, mais l’on a beau se fermer les yeux, le sommeil ne vient pas. Il faut alors se mette à chercher une petite distraction ici ou là.

Mais quad ‘on est un fantôme, le nuit surtout, les distractions ne sont pas nombreuses. Les amis que l’on a chez les vivants dorment ou alors ils sont tellement plongés dans leurs travaux, que l’on sait qu’il vaut mieux ne pas aller les déranger. Nous aussi on n’a connu cela, même si on n’avait un peu tendance à se faire aider par tel ou tel personne. Et pour ce qui est des autres fantômes ? Bah, pas grand-chose à dire. Soit ils sont trop sérieux, soit ils sont tout simplement insupportables. Alors, que faire ?

On ère, on ère jusqu’à ce que l’on trouve quelque chose à faire. Ce n’est pas toujours facile, mais il arrive que la chance nous sourît.

Hayden errait dans le château, sautant d’étage en étage, passant au travers des murs, mais rien n’arrivait à l’amuser ce soir. Tout semblait dénuer d’attraction. Avait-il perdu le goût de s’amuser ? Avait-il perdu son éternelle imagination ? Temporairement, c’était bien possible, mais loin d’être rassurant pour une créature qui devait vivre encore et encore. Heureusement, quelqu’un devait avoir entendu le silence de la nuit qui se faisait entendre dans Poudlard.

Valentine, la belle et dangereuse Valentine venait tout droit de passer devant lui, en l’ignorant totalement. Bon, d’accord, ça n’avait rien de très exceptionnel. Elle l’ignorait tout le temps, mais, ce soir, il avait envie de s’amuser un peu avec elle, même s’il savait qu’elle n’allait pas vouloir le voir. Quel caractère quand même ! Il la suivit doc, sans se faire voir, parce que sinon, ça n’allait pas du tout être amusant.


*La salle de théâtre ? Que va-t-elle y faire ?* C’était une bonne question qu’il venait de se poser, mais il se fichait éperdument de la réponse. Sans plus rien attendre, il fit son apparition.

« My funny Valentine
Sweet comic Valentine
You make me smile with my heart
Your looks are laughable
Unphotographable
Yet you're my favourite work of art »


Il avait toujours été gêné de chanter, mais, cette fois-ci, il avait fait une petite exception à ce qui le mettait mal à l’aise. De toute manière, ça allait mettre la jeune femme de mauvais polis et c’était ça qu’il voulait. Il la trouvait marrante dans ces moments là. Il répéta toujours ce couplet, en faisant fit de ses cris. De toute manière, elle criait toujours, alors ça ne changeait rien à d’habitude.

Rectification ! Elle venait tout juste de lui lancer son livre. En plein dans le milles ! 10 000 pour Valentine pour avoir attend l’emplacement du cœur ! Mais il ne lui sortit pas cette réplique. Il préféra continuer de chanter, chanter, chanter ! Encore, encore et encore ! C’était beaucoup plus amusant, surtout qu’il venait tout juste de commencer à tourner autour d’elle pour la rendre un tantinet encore plus folle.

Et il venait tout juste d’avoir ce qu’il désirait. Ce visage… Il était si différent de celui qu’elle avait quand elle était vraiment de mauvais poils. Il valait alors vraiment mieux ne pas rester dans les parages. Il disparut alors dans le plancher, sans un mot.
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Valentine Nolwenn
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MessageSujet: Re: Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....[Libre]   Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....[Libre] EmptyJeu 18 Oct - 23:30

Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....

Qu’on le veuille ou non, le temps nous ramène des souvenirs, parfois agréables, parfois douloureux. L’on n’y peut pas grand chose. Tenter de ne pas s’en souvenirs ? Fait une amnésie sélective ou alors se jeter un sort ? Facile à dire, mais pas très évident à faire, ça non. Alors, on finit par se dire que l’on n’y peu rien. C’est la vie, un point, c’est tout.

Elle devait se calmer, oui elle devait vraiment le faire ou alors se trouver une personne sur qui se passer les nerfs un peu, mais elle avait eut ce qu’elle voulait. Elle était bel et bien seule. Bel et bien seul dans un endroit aussi peu chaleureux en cette sombre nuit d’octobre où le fort vent de la nuit faisait tomber les feuilles des arbres, les dénudant encore, pour bientôt ne leur laisser que l’écorce. Un paysage relativement vide, nu et mort, mais pour un œil qui s’avait s’émerveiller pour un rien, la beauté était sans doute palpable. La lune était haute dans le ciel, mais ce n’était pas encore la pleine lune. À vrai dire, elle ne devait qu’être qu’à son quart. Les étoiles étaient inexistantes puisque le ciel était recouvert d’un manteau, un manteau nuageux d’un sombre couleur, rendant le tout relativement menaçant.
Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....

Le temps nous fait aussi parfois agir d’une manière partiellement étrange. On ne sait pas ce qui nous arrive. On n’a simplement l’impression que tout nous pèse, que tout va se briser dans le creux de nos mains, y compris notre pauvre petite vie. On sent morte cœur battre au creux de nos mains, mais on le sent aussi lourd et aussi fragile qu’une poupée de porcelaine. Au moindre petit choc et c’est trop tard. On est fait.

Comme c’est agréable d’être dans une telle situation.

Elle sentait une certaine rage bouillonner à l’intérieur de son pauvre petit corps, un corps que les gens avaient eut trop souvent tendance à prendre pour un cops faible et aussi fragile qu’une petite fleur d’été. Son corps était loin d’être comme cela. Il avait plus une ressemblance avec un rocher.

La Serpentarde soupira, un long et douloureux soupir qui emplis la salle dans laquelle elle se trouvait. Quand on n’ignorait ce que l’on avait, il était difficile de savoir comment régler le problème. Il pouvait y avoir tellement de choses qui pouvaient expliquer son comportement. Un célibat qui durait depuis un bon moment ? Des relations relativement désastreuses ? Une éternelle vie dans un monde qui ressemblait à une mascarade ? Allez vraiment savoir ce qui faisait en sorte que son cœur se sentait aussi mal.

Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....

Le temps passe, le temps passe et on n’y peut rien.

La jeune femme prit son sac et se dirigea vers la sortie de ce lieu, ramassant à l’aide de sa baguette magique, son livre qu’elle avait lancé à la tête de cet idiot de fantôme. Où allait-elle ? Va savoir ! Dans son lit, dans un trou de ce château ou alors même à l’extérieure. Elle ne le savait pas. Elle voulait seulement bouger un peu. Valentine Nolwenn allait laisser ses pieds la guider, sans prendre peur sur ce qu’elle pourrait rencontrer. Il allait arriver ce qui devait arriver.

Tic tac, tic tac, tic tac, tic tac....

Le temps, c’est vraiment une plaie.
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