Cours n°1 : Introduction

Les bruits de couloirs, ses pats qui avaient tant manquer à cette école durant deux mois de vacances, il est vrai que Poudlard semblait bien mort sans la vue de ses élèves courant dans tout les sens, de ses élèves se chamaillant et s’aimant et de ses professeurs arrangeant les multiples conflit. Une école sans vie, c’était ainsi que Poudlard se trouvait sans chacun des élèves. Ce matin, la journée semblait être douce en ce début de septembre, on entendait encore dans les couloirs de Poudlard les multiples souvenirs du voyage scolaire, celui-ci semblait avoir réellement émerveillé les élèves. Parmi ses bruits de couloir il y avait aussi la crainte des premières années avec leur nouveau cours et bien évidemment un nouveau rythme scolaire à suivre. C’était pas très facile pour eux mais la plus part était assez bien encadré, il y avait aussi les échanges de grilles d’horaire pour savoir avec qui ou qui on se retrouverait dans la classe, les cours et les professeurs que chacun avait…Cette année…Amber était nouveau, occupant le poste dit « maudit ».

Le soleil était au rendez-vous, c’était une journée assez douce qui promettait de fine brise pour se rafraîchir des quelque rayons trop chaud du soleil, celui-ci se reflétant à la surface du lac de Poudlard et d’ailleurs, ce lac lui même semblait reprendre vie, le grand calamar occupant les lieux ayant montrer une ou deux tentacules. Un hibou avait été retrouvé assommé non loin du saule cogneur aussi et les élèves prenait même leur petite déjeuner dehors ce matin. Une matinée qui semblait réjouissante pour la plus part des élèves, beaucoup de curieux dans les couloirs cherchaient à entr’apercevoir le nouveau professeur de défense contre les forces du mal cependant, il ne semblait pas…Présent dans les couloirs.
Les élèves qui se trouvait à la grande salle ne pouvait guère le voir non plus, la place à côté du professeur de botanique était vide et pour ceux qui n’avait pas fait attention à la présentation du nouveau professeur lors de la cérémonie ne pouvait donc pas savoir a quoi il ressemblait réellement.

La raison pour laquelle le professeur semblait introuvable ? Certain bruit de couloir racontait qu’il était simplement entrain de préparé le cours dans la classe bien que les plus curieux y était passé pour plaquer leur oreille et essayer d’entendre un quelconque mouvement dans les lieux. D’autre racontait qu’il avait déjà démissionner en apprenant que ce poste était un travail maudit et que jusqu’ici, il n’y avait pas eu de professeur qui ai tenue plus d’un an. Certain racontait simplement que le professeur déjeunait de son côté et qu’il ne souhaitait pas trop se mêler aux autres, les plus farfelus de l’école imaginait déjà une histoire digne des gros titres du dernier journal. Enfin, il était normal que cela rend curieux les élèves étant donné que dans les victimes moldus se trouvait le nom « Alexander Lynam » ce qui bien évidemment attisait bien des curiosités auprès de ses élèves.

Et l’heure des cours avait sonner, la porte de la classe d’Amber Lynam était ouverte et pour cause, des élèves étaient déjà entrer…Pourtant…Toujours pas de professeur…Et pour cause…Celui était encore dans son lit quand il ne lui restait que dix minutes pour se diriger aux cours…Sa classe avait largement le temps d’arrivé avant que lui n’arrive sur les lieux.

( Désolé pour la courtesse de ce message mais je me rattraperai dans les suivants Wink

)

Invité

Lucie Anson ne lisait pas les journaux et les actualités ne l'avaient jamais interessées. La seule paperasse à laquelle elle daignait jeter un regard, c'était Sorcière Hebdo et ses recettes de maquillages révolutionnaires. Un moment de détente indispensable à toutes bonnes Poudlardiennes maquillées et modeuse jusqu'au bout des ongles. Bref, un magazine qui en plus de renseigner sur des sujets aussi interessants ~~ou pas~~ que les sorciers sexy à la mode et les trouvailles des personal shoppeuses, procurait un véritable lavage de cerveau débarassant l'esprit de choses inutiles (devoirs à faire et autres problèmes existenciels). Un journal vous l'aurait compris où aucune place n'est faite à de pauvres moldus assassinés comme l'infortuné Alexander Lynam. Lucie ne savait donc rien de cette prétendue parenté avec le nouveau professeur de Défense Contre les Forces du Mal. Elle avait d'ailleurs presque oublier que cette matière existait au programme, c'est dire comme les cours la passionnaient à Poudlard. Mais grâce à Dieu, ou Emerson plutôt, Lucie Anson n'était plus à cas désespéré. Bientôt elle saurait faire quelque chose de sa baguette magique, autre que l'utilser pour retenir ses cheveux roses. Et ouais.

Mais ce jour n'était pas encore arrivé, et c'est traînant des pieds, résolument de mauvaise humeur que Lucie se rendait en cours. Comme chaque fois, mais comme chaque fois elle se pliait à son emploi du temps. Pour le premier cours en tout cas... histoire de faire bonne impression, avant de se permettre quelques heures de cours facultatives. Et puis... En bonne semeuse de rumeurs en tout genre, Lucie avait bien sûr eu vent de plusieurs théories sur le nouveau professeur, le 'maudit'. Sa curiosité était donc très aiguisée, mais la question qui la préoccupait le plus avouons-le était : Est-ce que le prof est canon? Et c'est dans l'espoir de l'apercevoir avant d'autres (et par deseuvrement total également) que Lucie avait décidé d'avancer son heure d'arrivée.

L'élève, à destination, poussa la porte de la classe avec assurance, mais quelle ne fut pas sa déception de n'y trouver personne! Pas même un élève à qui adresser quelques mots, et elle n'aurait pas d'alibi quand le gros des troupes passerait la porte de la classe du quatrième étage. Il ne manquerait plus qu'on la prenne pour une bêcheuse. Ces quelques minutes avant le début des cours allait être d'un ennui mortel... Heureusement, qu'elle avait pensé à mettre son vernis à ongles dans son sac! Elle s'assit dans le coin gauche de la classe, rangée du milieu, là où le regard se porte le moins et sortit l'arme fatale beige-rosé-nacré en attendant un peu d'action. Pas peu fière de son allure aujourd'hui, elle avait hâte de montrer à ses amies les arrangements de son uniforme : une jupe racourcie, de nouvelles chaussures hors de prix, le gloss assorti au vernis et, pour la toute première fois... une cravate correctement nouée et pas un bouton de défait à son chemisier, grande révolution de l'année qui lui donnait l'air super classe et sexy avait-elle décidé.

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